On est fières de nos Diables. Non seulement parce qu’ils nous ont gratifié d’un splendide 3-0 face à l’Irlande samedi dernier. Mais surtout parce que, parmi eux, il y a notre coup de coeur: l’éblouissant Romelu Lukaku.
Il est volcanique
On ne va pas se mentir, Dame Nature a ses préférences et elle a fait de Romelu Lukaku un chef-d’oeuvre universel. Une beauté transcendantale. Une génétique plus que parfaite. Un assemblage chromosomique si renversant qu’on devrait sérieusement envisager de sanctifier ses parents.
Il nous rajeunit de 10 ans
À moins d’avoir loupé une marche en cours de route, la midinette de 30 ans n’existe pas. Ça, c’est la théorie. Dans la vraie vie, on lui écrirait bien des tonnes de poèmes à Big Rom’.
Et puis on l’a déjà placardé aux quatre coins de la maison. On dort Lukaku, on mange Lukaku et on a même remasterisé le laptop et le GSM. Comment ça, on exagère?
Il nous fait aimer le foot
Et là, soudain, on devient une bête en foot. Arbitrage à cinq, hors-jeu, doublé, on connaît les Lois du jeu par coeur (ou presque). On peut donc postuler tranquille pour un job à l’UEFA, sait-on jamais. Ou faire la maligne devant chouchou (tiens, on a failli l’oublier celui-là).
Il nous remonte le moral
Alors que notre pays se remet péniblement des attentats, des opérations antiterroristes et des journalistes français, la presse internationale nous encense depuis samedi dernier.
Même la Tour Eiffel a revêtu nos couleurs le temps d’une soirée. Ce retour en grâce, on le doit surtout à notre Apollon anversois d’ 1 mètre 90.
Tel un prince, il répond aux critiques
Qu’il rate un but ou qu’il nous propulse en huitième de finale, on l’aime sans condition. Face à l’Irlande, Lukaku aurait pu flancher mais au lieu de ça, il a planté le premier doublé d’un Belge en compétition internationale depuis 1998! Lors d'une interview accordée samedi à la Dernière Heure, le message était très clair:
Je veux lever la Coupe et fêter la victoire à Bruxelles avec les supporters. Je ne veux pas qu’on parle de nous comme une génération en or qui a raté de justesse la victoire finale.
L'Euro 2016 et nous:
