4 mensonges éhontés dans les Disney sur la vie amoureuse
Si vous aussi vous vous attendiez à rencontrer votre Prince Eric et vivre heureux pour toujours et à jamais dans son château deluxe, on sait que le retour à la réalité fait mal. Très même. Voici donc les quatre plus gros mensonges servis par Disney sur la vie amoureuse.
Ce qui va suivre est basé à la fois sur nos propres observations mais aussi celles de nos BBF (sorry les filles, on vous a balancées).
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1. Un jour mon prince viendra... (ou pas).
A la place du Prince Charmant (milliardaire, pro de l’épée, roi de l’équitation et de l’immobilier de luxe), on vous présente Jean-Paul. Il n’est pas riche, il est hautement allergique aux chevaux, il se coupe en maniant une feuille blanche d’un peu trop près, craint les araignées et s’habille encore comme si on était en 2012 mais qu’est-ce qu’on l’aime notre Prince-Pas-Si-Charmant.
2. Et ils vécurent heureux pour toujours.
On connaît tous cette scène finale où la princesse et le prince, fraîchement mariés, partent dans le soleil couchant sur leur fidèle destrier. Permettez-nous de rajouter une petite rectification de rien du tout : “Et ils vécurent heureux… après avoir longuement travaillé sur leur relation, effectué de nombreux compromis et avoir accepté un chien uniquement pour faire plaisir à notre Prince mais qu’on se retrouve quand même à devoir promener tous les matins”. Ah que c’est beau l’amour.
3. On assistera à des bals chaque semaine.
Est-ce que la danse jusqu’au frigo pour aller se rechercher des mini fromages apéritifs et du vin pour regarder Netflix tous les soirs, ça compte? En clair: pour les bals royaux et la vie sociale de folie, on repassera. Mais d’un côté ce n’est pas plus mal car nous et Jean-Paul nous endormons tous les deux à neuf heures tapantes devant Jane the Virgin. (Et puis, de toute façon si Cendrillon et son homme avaient accès à Netflix, on sait tous qu’ils feraient la même chose.)
4. Il est où mon château?
Oui parce qu’avec la hausse des prix actuels d’à peu près tout ce qui est comestible et la montée astronomique des prix du gaz et de l’électricité, on n’est pas prête de l’avoir de sitôt notre château. Donc, en attendant, on va devoir se contenter de l’appart’ de 50 mètres carré en espérant que le Prince apprenne à ranger ses chaussettes dans son tiroir au lieu de les semer partout comme si c’était un jeu de piste pour lequel on n’a pas signé du tout.
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