9 infos incroyables que vous ignorez sur Disneyland Paris
Vous pensez tout savoir sur le monde magique du parc? On parie qu’on vous prouve le contraire. Petite plongée dans les secrets de Disneyland Paris. Un peu de poussière de fées et c’est parti!
Disneyland Paris renferme une foule d’anecdotes, de références et de clins d’œil. Et autant dire que l’on n’aurait pas assez d’une vie passée dans les allées du parc pour tous les repérer. On fonce à la découverte de ces trésors.
Le château de la Belle au Bois Dormant dissimule de nombreux secrets
Le sublime château que nous connaissons diffère fortement de ses pendants américains. De par son style architectural, puisqu’il rappelle le Mont Saint-Michel, mais aussi par sa couleur. Il est en effet rose, là où celui d’Anaheim, premier parc Disney, est lui blanc. Et ce car la météo européenne étant bien moins clémente que celle de Californie, la teinte rosée permet ainsi de donner un effet ensoleillé au lieu, même lors des journées les plus ternes et grises. Mais ce n’est pas tout, le rose est également aussi plus foncé dans le bas que dans le haut du château pour apporter l’illusion qu’il est plus grand et massif qu’en réalité. Et parmi ses nombreux vitraux, réalisés avec les mêmes techniques artisanales que celles employées au Moyen Âge, l’un d’eux change d’apparence. Il représente par moments deux colombes enlacées et à d’autres un bouton de rose.
Mickey se cache un peu partout dans les parcs
Tradition respectée dans tous les parcs de Disneyland, de très nombreuses effigies de Mickey se dissimulent un peu partout. Des motifs des carrelages ou vitraux aux portes ou rambardes, partez à leur chasse et dénichez des trésors de surprise.
Vous n’y trouverez jamais de costume de princesse à votre taille
Avouons-le, en voyant les parures et les jolies robes de Cendrillon, Belle ou encore Raiponce, nous avons déjà toutes rêvées de nous y glisser et de jouer à “Il était une fois”. N’espérez pourtant pas dénicher de modèle au-dessus de la taille 12 ou 14 ans et ce pour une raison très simple: il ne faudrait pas semer la confusion dans l’esprit des enfants, qui risqueraient dès lors de croiser une multitude de Raiponce et autres Anna et Elsa. C’est aussi pour cette raison qu’un même personnage ne peut jamais être présent à deux endroits du parc.
It’s a Small World ne devait être qu’une attraction temporaire
Le célèbre voyage à travers le monde des poupées avait au départ été conçu pour la Foire internationale de New York de 1954. Walt Disney l’avait d’ailleurs créée en partenariat avec l’UNICEF et devait illustrer la thématique de la foire: “la Paix au travers de la compréhension”. Mais l’œuvre rencontra un tel succès qu’elle fut finalement intégrée dans les parcs d’Orlando, de Californie, d’Hong Kong, de Tokyo et de Paris. Sa musique iconique a elle, été composée par les frères Sherman a qui l’on doit les thèmes de Mary Poppins, des Aristochats et du Livre de la Jungle.
Rien n’est laissé au hasard
La moindre date présente sur une façade, initiale ou tableau est un rappel ou un hommage, à l’un des bâtisseurs de Disneyland, à Walt Disney lui-même ou encore aux autres parcs. Pour exemple, derrière l’une des façades de Main Street, il est censé se cacher un dentiste, dont on entend les bruits – plutôt terrifiants- des soins fictifs qu’il réalise sur ses patients. Or sur celle-ci, il est également indiqué cinq noms. Ceux des concepteurs des cinq univers du parc: Fantasyland, Frontierland, Discoveryland, Adventurland et Main Street. Certains chars de la parade relâchent eux un parfum particulier tandis que l’on peut sentir des effluves d’air marin dans les zones de pirates. Les boutiques cachent elles aussi de nombreux secrets. N’hésitez dès lors pas à lever les yeux au plafond pour y admirer les vitraux ou les détails ou, comme dans le magasin New Century Notions, à décrocher le vieux téléphone qui s’y trouve. Il vous permettra d’entendre des conversations secrètes.
Disneyland Paris a deux ambassadeurs officiels
Danseurs comme serveurs, mécaniciens comme chanteurs ou vendeurs, ils sont 15.000 cast members, à faire vivre le parc au quotidien. Des membres du personnel issus de 100 pays et parlant 20 langues différentes. Et pour représenter ceux-ci, on nomme pour une durée de deux ans, deux ambassadeurs, issus de n’importe quel poste au sein de Disneyland. Ils ont pour vocation d’être l’image du parc, auprès du public mais aussi auprès des autres membres du personnel et de la direction. Ils se baladent fréquemment dans le monde de Mickey. Vous pourrez les reconnaître à leur immense sourire et leur superbe broche dorée représentant la célèbre souris.
On retrouve dans le parc des clins d’œil aux origines françaises de Walt Disney
Vous l’ignoriez peut-être mais le maître des contes de fées a des origines françaises. Son nom en est d’ailleurs une survivance. En effet, les ancêtres de celui-ci venaient de la ville d’Isigny-sur-Mer. À leur départ pour les USA, ils ont choisi de changer leur nom de Suhard en Isigny, en hommage à leur lieu de naissance. Un patronyme dont l’orthographe évoluera au fil des siècles, devenant Ysini, Ys’ny et enfin... Disney! Plusieurs lieux du parc rappellent de par leur architecture, ce lien particulier avec la France. C’est notamment le cas du Carrousel de Lancelot.
Les pièces présentes dans les fontaines ne sont pas que décoratives
De nombreux bassins et fontaines présentent des milliers de pièces de monnaies laissées par les touristes en souvenir ou comme porte-bonheurs. C’est notamment le cas de ceux près du Mystère du Nautilus, de la Cabane de Robinson ou de du Pays des Contes de Fées. De l’argent qui sert en réalité à réaliser les rêves d’enfants puisqu’il est récolté par des volontaires et confié ensuite à la Fondation des Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France, dans le cadre de l’Opération Pièces Jaunes et sert à améliorer la vie des petits malades.
Main Street existe vraiment... ou presque
La rue principale de Disneyland Paris rappelle en effet de par son architecture et ses bâtiments Marceline, petite ville du Missouri où a grandi Walt Disney. De quoi nous donner dès lors envie de réserver un vol pour les USA, histoire d’aller la découvrir. Main Street possède également de nombreux rappels de l’histoire du fondateur du parc. On y trouve ainsi le magasin Lily’s Boutique nommé en hommage à la femme de Walt, ainsi que la New Century Notions – Flora’s Unique Boutique en référence à sa mère, Flora. Tandis qu’une plaque commémorative située près de Main Street Motors rend hommage à son père en indiquant Elias Disney – Contractor 1901, année de la naissance du créateur de Mickey.
Pour toujours plus de féerie:
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