9 situations qu’on connaît toutes en Erasmus
Le proverbe dit que “l’Erasmus n’est pas une année dans ta vie, mais ta vie en une année”. Et de fait, aussi bien scolairement qu’humainement, il s’agit d’une expérience incroyable et inoubliable. Zoom sur ces neuf situations que connaissent toutes les chanceuses qui sont parties poser leurs valises quelques mois à l’étranger, dans le cadre de leurs études.
Avant
1. Angoisse et excitation
Les quelques jours et heures qui précèdent le départ en Erasmus sont les plus stressants. On rêve de cette expérience mais juste avant de partir, on a presque envie de faire marche arrière, d’annuler son séjour et de rester dans sa zone de confort. Ou alors d’emmener son chat, ses parents et ses amis.
2. Quoi emporter ?
C’est la grande question que se posent celles qui partent en Erasmus. Que dois-je mettre dans ma valise pour être parée à toute situation dans mon nouveau pays ? Et la plupart du temps, on prend deux robes de bal (on ne sait jamais), 4 paires de chaussures à talons, beaucoup trop hauts, mais pas de baskets pour marcher. Résultat : on ne va pas à aucun bal mais on découvre la ville avec des ampoules aux pieds.
Pendant
3. Se trouver des amis
Une fois seule dans notre pays d’adoption, une des plus grandes hantises est de pas se trouver d’amis et de passer six mois seule à déprimer. Finalement, il y a tellement d’étudiants qui arrivent et sont dans la même situation qu’on fini toujours bien par dénicher LA personne avec qui on fera les 400 coups pendant notre séjour.
4. Manger, sans arrêt
Partir en Erasmus, c’est quitter ses habitudes et les petits plats que les parents préparent. On est lâché dans les rayons du supermarché et on préfère se faire des apéros grignotage tous les jours q’une détox légumes. Résultat: on s’empiffre, on se fait plaisir mais on revient en ayant pris du poids et acquis la certitude qu’une glace nous offre une bonne ration de fruits et de vitamines.
5. Fiesta, Fiesta et Fiesta
Alors, évidemment, un Erasmus se veut avant tout un échange culturel, entrainant la possibilité d’étudier à l’étranger. Même si en toute honnêteté, il s’agit du moment où l’on a le moins ouvert nos livres et le plus fait la fête. Zéro responsabilité et pas de parent sur le dos pour nous réveiller le matin, c’était fiesta soir après soir.
6. Économies à zéro
À force de sortir, de manger n’importe quoi n’importe où, de voyager, de s’acheter tout ce dont on a envie, notre compte en banque et notre portefeuille se sont vidés petit à petit pour se retrouver à sec juste avant de rentrer à la maison. Heureusement qu’on avait pris un vol aller-retour.
Après
7. Refermer sa valise
Si vous pensiez que boucler votre valise avant de voyager n’était pas une partie de plaisir, ce n’était rien comparé à l’horreur de la refermer en terminant votre Erasmus. À force d’avoir fait du shopping (c’était moins cher!), plus rien ne rentre dans vos bagages et vous devez choisir entre abandonner certaines choses sur place ou vous envoyer un colis à vous-même.
8. C’est la déprime
Une fois de retour à la maison, souvent sous la grisaille, on a l’impression que l’Erasmus était la meilleure période de notre vie et que plus rien ne sera pareil, ni proche de ce qu’on vient de vivre. Difficile voire impossible dès lors de se réacclimater à la routine quotidienne faite d’étude et de responsabilités.
9. Repartir à l’aventure
Après la période de déprime, on se souvient des bons côtés, des aventures qu’on a vécu et ça nous donne envie de repartir, là tout de suite et loin. Alors on planifie des voyages à l’autre bout du monde, même si c’est juste sur papier et on espère que finalement, un jour, on aura l’occasion de revivre cette incroyable expérience.
D’autres situations dans lesquelles on se reconnaît toutes:
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