À moins d’habiter dans une grotte (et si oui: ça va, vous n’avez pas trop froid?), impossible d’avoir loupé la couverture sublime d’Adele pour “Vogue”.
L’occasion, entre autres, pour la chanteuse culte de revenir sur son divorce, sa nouvelle romance, sa perte de poids spectaculaire et sa controverse lorsqu’elle a posé en tenue “appropriation ethnique” pour le carnaval de Notting Hill. Une photo qui avait suscité la colère sur les réseaux, tout comme les déclarations d’Adele sur les prix scandaleux de l’immobilier agitent aujourd’hui la Toile.
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Snob, Adele?
Attention, sur papier, on est toutes et tous d’accord: entre les mille euros nécessaires pour louer un clapier à Bruxelles, l’apport de dizaines de milliers d’euros qu’il faut pour acheter une maison au prix gonflé aux stéroïdes partout en Wallonie ou encore la perspective réelle, pour tous les jeunes d’aujourd’hui, de ne jamais être propriétaires sans l’aide providentielle de parents aux poches pleines, vraiment, on compatit et on comprend. Surtout qu’en prime, Adele est Londonienne et que les prix de la capitale britannique feraient presque passer Bruxelles pour un rêve de petits budgets.
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Là où la compassion s’arrête, par contre, c’est quand Adele fait remarquer qu’elle a dû “quitter Londres en raison des prix de l’immobilier” alors même qu’elle est l’heureuse propriétaire de diverses maisons valant pour 30 millions d’euros à Los Angeles. Et bon, OK Londres est chère, mais l’Internet semble convaincu qu’avec 30 millions de budget, on trouve tout de même l’une ou l’autre maison à s’y acheter...
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