““Les Animaux Fantastiques”” s’installent au Musée d’histoire naturelle de Londres
L’univers enchanteur imaginé par J.K Rowling prend ses quartiers dans l’un des plus prestigieux musées londoniens. Créatures magiques et monstres surnaturels tout droit sortis des “Animaux Fantastiques” y côtoient les espèces du monde réel, à l’occasion d’une exposition inédite qui ravira petits et grands Moldus.
« Le monde réel est, à bien des égards, plus étrange et fantastique que tout ce que peut fabriquer notre imagination » affirme Louis Buckley, commissaire de cette exposition d’un genre nouveau, baptisée “Les Animaux fantastiques, les merveilles de la nature”. Une magie présente tout autour de nous, dans la création même du biotope et des espèces qui peuplent notre planète, et qui se révèle d’autant plus grâce à l’imaginaire. Le Musée d’histoire naturelle de Londres propose ainsi de suivre les pas de Norbert Dragonneau, le célèbre magizoologiste inventé par J.K Rowling, à la rencontre des licornes, sirènes ou encore dragons, qui peuplent le monde des sorciers. Des espèces certes fabuleuses et chimériques, mais finalement bien moins éloignées des créatures que nous connaissons, qu’on ne pourrait le croire, comme l’explique Lorraine Cornish, conservatrice en chef du musée londonien: “On a regardé les caractéristiques étonnantes de certains de ces Animaux Fantastiques, et on les a comparées avec notre collection de plus de 80 millions de spécimens. Cela a permis d’établir des liens extrêmement significatifs et fascinants avec plus de 100 spécimens.”
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12 animaux issues du monde de la magie et 125 objets venus de différents musées et des studios Warner Bros sont ainsi présentés, permettant de révéler les liens intimes entre fantastique et réel. L’exposition elle, s’articule en deux parties. La première évoque les origines des créatures et monstres de la saga, dont nombre sont présents dans l’imaginaire collectif depuis la nuit des temps. Tandis que la seconde revient sur les inspirations qui ont permis à J.K Rowling de créer les espèces chimériques qui peuplent ses ouvrages, une majorité de leurs capacités ou particularités ayant été puisées chez des spécimens existant vraiment. Comme par exemple le pouvoir d’invisibilité du Démiguise, ce singe argenté à la rapidité incroyable, très proche du camouflage du “papillon-feuille”, imitant à la perfection une feuille morte pour se protéger.
Baguettes magiques, costumes, décors, ou encore occamys et dragons, empliront les allées du Musée d’histoire naturelle de Londres du 16 décembre au mois d’août 2021, avant de s’exporter dans d’autres pays Moldus, parmi lesquels, on l’espère, la Belgique. On imagine déjà un niffleur trônant fièrement près d’un squelette de tyrannosaure, dans notre Musée des sciences naturelles national.
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