Vous avez adoré la série “The Crown”, dévoré celle sur les Tudors et vous auriez aimé vivre en pleine époque de La “Chronique des Bridgerton”? Alors ces biopics parlant de royauté, britannique mais pas que, promettent de vous captiver.
On parle de biopic pour évoquer une œuvre cinématographique historique racontant la vie d’un personnage réel, mais pouvant comporter des éléments fictionnels. Et dans ce domaine, difficile de trouver plus fascinant que les rois et reines, modernes comme passés. Entre destins cruels, épopées aventureuses et scandales retentissants, on ne se lasse pas d’en apprendre plus sur ces destins royaux. Et ça tombe bien au vu du nombre de films remarquables en la matière.
Le film retrace la rivalité entre Anne et Mary Boleyn pour conquérir le cœur du souverain Henry VIII et le trône par la même occasion. Dans les rôles principaux, on retrouve les sublimes Natalie Portman et Scarlett Johansson tandis qu’Eric Bana se glisse dans la peau du monarque sans pitié.
Adapté directement de deux œuvres de Shakespeare, le film conte la montée sur le trône d’Angleterre du jeune Henry V, après le décès de son père et la perte de l’innocence sur l’autel de la guerre. Une production signée Netflix, dans laquelle on retrouve Timothée Chalamet.
Vous avez adoré Olivia Coleman sous les traits d’Elizabeth II dans les saisons 3 et 4 de The Crown? L’actrice britannique n’a pourtant pas attendu la série pour se lancer dans les films d’époque puisqu’elle interprétait déjà la Reine Anne dans “La Favorite”, une personnalité sombre et fragile, brisée par le décès de ses enfants, pouvant compter sur son amie, la duchesse Sarah Churchill pour gouverner discrètement l’Angleterre à sa place.
Le long-métrage de Luc Besson s’offre une interprétation un brin revisitée de la vie de la célèbre pucelle, partie en guerre pour bouter les Anglais hors de France, guidée par sa foi.
Les années 30, George VI, père de la future monarque Elizabeth II, doit monter sur le trône après l’abdication de son frère Edouard VIII pour épouser une divorcée, Wallis Simpson. Mais celui que rien ne destinait au départ à devenir roi, souffre de terribles problèmes de bégaiements, qui le complexent et rendent son rôle particulièrement ardu. Il décide donc de faire appel à un thérapeute aux pratiques non-conventionnelles.
Alors qu’elle doit affronter la liaison de son mari, sous son propre toit et avec celle qu’elle considérait comme sa plus précieuse amie, Georgiana Spencer affronte son époque en quête de liberté, mais découvre les désillusions qui accompagnent le statut de femme à une époque ne leur laissant aucune latitude pour exister par elles-mêmes.
Ce bijou signé Sofia Coppola conte avec modernité et infinie justesse, le destin de la reine Marie-Antoinette, de la frivolité jusqu’à la condamnation à mort.
Le long-métrage raconte le destin de Marguerite de Valois, dite “Margot”, avant et pendant son mariage avec le futur Henry IV. La jeune femme vit les heures les plus sombres de la France, notamment le terrible massacre de la Saint-Barthélémy, et découvre en elle une générosité et une humanité qu’elle ignorait jusqu’alors.
Le long-métrage montre l’accession au trône de la jeune reine Elizabeth I. Un titre qui lui échoit alors que le pays est affaibli, divisé et ruiné. Le second volet: Elizabeth, l’Âge d’Or, revient sur le destin de la souveraine 30 ans plus tard, interprétée dans les deux cas avec brio par Cate Blanchett.
Marie Stuart se retrouve veuve à seulement 18 ans, après le décès de son époux le roi de France, François II. La jeune femme refuse alors de se remarier, conformément à la loi et quitte le pays pour revenir sur ses terres natales d’Ecosse, et y réclamer le trône lui revenant de droit.
Quelle fut la réaction d’Elizabeth II au décès de Lady Di et comment vécu-t-elle ce drame, en tant que souveraine mais aussi en tant que femme? C’est ce que ce plaît à imaginer Stephen Frears, dans ce film débutant au matin du dimanche 31 août 1997, après l’accident de la Princesse des Cœurs.
En 1770, Christian VII monte sur le trône du Danemark, mais il souffre d’instabilité mentale et peine à gérer le pays. On délègue alors à ses côtés le séduisant docteur Johann Stuensee, qui devient en parallèle rapidement l’amant de la reine.
Sous le règne de Louis XIV, la paysagiste Sabine de Barra a l’honneur d’aménager la salle de bal extérieure des jardins du Château de Versailles, le bosquet des Rocailles et noue en parallèle une relation à part avec le roi.
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