BLOCUS: 15 situations qu’on connait toutes
Des heures d’études, des semaines de fatigue, des journées entières à lire et à relire des syllabi dont on ne comprend pas la moitié. Alors que la majorité d’entre nous glande durant l’année, c’est le compte à rebours qui a commencé une fois le blocus arrivé.
Avant de commencer, on est pleine de bonnes intentions
En début de blocus, on se fait un planning de feu de dieu réparti en heures d’études intenses. Deux heures plus tard, on a déjà fait une pause de trente minutes et on a troqué le cours de math contre celui de psycho “on va commencer par le plus facile, finalement.“
On découvre nos cours
En tant que glandeuse professionnelle, on a rarement été aux cours car on préférait de loin faire du shopping et boire des coups en terrasse. Le blocus est donc le moment où l’on découvre nos cours pour la première fois, et qu’on se dit “purée, j’aurais tellement dû écouter le prof.“
On oublie l’hygiène
Ben quoi, on ne sort quand même plus de chez nous. En blocus, on a les cheveux gras coiffés en joli palmier et on ne quitte plus notre pyjama bien chaud.
On ne voit plus notre mec
Fini les chouettes soirées avec Chéri. En blocus, on se voit une fois par semaine, le vendredi soir entre 18 et 22 heures.
On dit adieu à notre vie sociale
Bye bye les terrasses entre copines, les soirées papotes et les virées shopping... À dans un mois!
On étudie partout
Et dans des endroits absolument improbables. Notre lit s’est d’ailleurs transformé en bureau et en salle à manger.
On fait des résumés
Mais on se rend vite compte qu’un résumé est beaucoup trop long à faire et qu’on est en retard sur le planning. La solution? En trouver un tout fait.
On adore les fluos
On surligne les passages importants pour faciliter la mémorisation. Ou pas. À la fin du syllabus, on constate que tout le cours est coloré... et que notre Stabilo est vide.
On élabore des stratégies
On calcule sur nos doigts les pondérations des différents cours pour savoir lesquels on peut potentiellement rater.
On est vite distraite
Le moindre petit événement visuel ou auditif peut s’avérer aussi captivant que le dernier film avec Leo. Mouche qui vole, voisin qui se gare, toute distraction est bonne à prendre. “Tiens, le voisin arrose ses plantes...”
On parle seule
On lit à voix haute notre syllabus comme si on était un prof devant son auditoire en se donnant l’illusion qu’on maitrise la matière.
On ne fait que manger
On demande à maman de nous acheter nos biscuits préférés et on s’enfile la boite en une seule journée.
On fait des micro-siestes
On a l’art et la manière de s’endormir en deux secondes sur notre chaise de bureau.
On est à fleur de peau
Stress, pression et panique nous envahissent petit à petit. Le moindre petit événement peut nous donner envie de pleurer. “Comment ça y’a plus de ketchup??”
On pète les plombs
Passé la première semaine d’études, on commence à avoir envie de tout plaquer. Sauf qu’il reste encore un mois à tenir. “J’aime pas vraiment ces études de toute façon”.
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