Après plusieurs jours de mutisme, Inès Reg, qui est accusée d’avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de Natasha St-Pier lors de répétition pour “Danse avec les stars”, a tenu à partager sa version des faits.
Depuis plusieurs jours, les rumeurs vont bon train autour d’Inès Reg et de Natasha St-Pierre, deux candidates de la treizième saison de “Danse avec les stars”. On prêtait aux deux femmes une relation tendue, les médias évoquant une altercation violente sous fond d’insultes et de menaces de mort ayant poussé la Québécoise à déposer une main courante contre sa concurrente. La chanteuse a, en outre, été mise à pied par la production de TF1 durant trois jours.
Si les deux femmes étaient apparues dans une story Instagram commune partagée par Natasha St-Pier, elles n’avaient toutefois fait aucun commentaire. Jusqu’à aujourd’hui. Dimanche soir, Inès Reg a tenu à partager sa version des faits dans une longue série de vidéos partagée sur ses réseaux sociaux.
Une musique qui va trop fort
Dans un premier temps, l’humoriste explique que, les studios étant côte à côte dans un grand hangar, il n’est pas rare que les un·e·s et les autres demandent de baisser le volume. Cela est notamment le cas lorsque les candidat·e·s sont interviewé·e·s.
Le studio de la jeune femme se trouve justement à côté de celui de la maman de 43 ans. “Ce jour du 31 janvier, Natasha vient deux ou trois fois pour demander de baisser le son. Sauf que la dernière fois qu’elle vient toquer pour qu’on baisse la musique, derrière, elle met sa musique encore plus fort.” Une situation embêtante pour Inès Reg, qui était précisément en train d’être interviewée par un journaliste. Elle explique que celui-ci, ainsi que le cadreur qui l’accompagne, se seraient plaints du volume provenant du studio de Natasha St-Pier et auraient décidé d’aller signaler le problème à la Québécoise. “C’est moi qui vais lui demander de baisser sa musique”, précise-t-elle.
C’est moi qui me suis mangé la vague de haine. Sans image, sans preuve. C’est moi que l’on insulte tous les jours de grosse, d’arabe, de racaille.
“Écoute-moi bien, petite salope”
Selon elle, c’est d’abord avec Anthony Colette, le danseur professionnel qui accompagne son homologue, qu’elle aurait discuté. Elle dit avoir ressenti une tension étrange et avoir été vexée par les propos du jeune homme, mais n’avoir rien voulu laisser paraître. C’est ensuite la chanteuse de 43 ans qui aurait interpellé Inès Reg en ces termes: “Écoute-moi bien, petite salope, les ennemis de mes amis sont mes ennemis.” Et l’humoriste de poursuivre: “Quand elle m’a dit ça, j’ai vu un éclair, c’est devenu tout blanc, et la seule chose que je me suis dit, c’est: ‘Ne pleure pas, ne montre rien, ne dit rien.’ (...) Ça m’a fait tellement mal, c’est trop violent, j’y crois même pas. (...) Je dis: ‘Oh wouaw’. Ce sont les seuls mots qui sortiront de ma bouche.” Toujours d’après elle, Natasha-St Pier lui aurait alors attrapé le bras pour la sortir de son studio. “Il n’y a eu aucune menace de mort, rien de tout ce que j’ai lu et dont on m’accable”, poursuit la jeune femme en sanglots.
La chanteuse québécoise se serait rapidement excusée, précisant que c’était de l’humour, et a réitéré ses excuses par message plusieurs jours plus tard (voir ci-dessous). Inès Reg, qui répète à plusieurs reprises que la scène a été filmée, aurait demandé à TF1 de diffuser cette altercation. Mais la production aurait choisi de ne pas le faire pour préserver l’image feel good de l’émission et éviter à la chanteuse de 43 ans une vague de haine. “C’est moi qui me suis mangé la vague de haine. Sans image, sans preuve. C’est moi que l’on insulte tous les jours de grosse, d’arabe, de racaille”, poursuit la jeune femme, qui indique avoir voulu quitter l’aventure DALS.
C’était horrible, ça m’a rappelé le collège et le harcèlement scolaire. J’ai décidé de raconter ma version des faits.
Pour Inès Reg, c’est du passé
Inès ajoute ne ressentir aucune haine envers Natasha St-Pier et Anthony Colette. “Quand vous m’avez vu la prendre dans les bras, la checker, c’était sincère. Le passé est du passé. (…) C’était horrible, ça m’a rappelé le collège et le harcèlement scolaire. J’ai décidé de raconter ma version des faits”, poursuit l’humoriste de 31 ans, qui a aujourd’hui tourné la page. Et de conclure: “Je ne suis pas une victime. Je suis forte. Je n’en veux à personne. Natasha, si tu passes dans cette story, tu sais que je ne t’en veux pas. Ce n’est pas grave. C’est passé. (...) Je ne veux plus parler de cette histoire. Pour moi, elle n’a jamais existé. DALS, c’est une vraie famille. Dans les familles, on s’aime, on se déchire et se rabiboche.”
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