En 2019, la qualité de l’air en Belgique s’est améliorée
Cette amélioration résulte d’une diminution des concentrations moyennes annuelles et du nombre de dépassements journaliers, explique la Cellule. Il faut rajouter à cela une baisse des concentrations de NO2, soit de dioxyde d’azote, selon le site de Paris Match.
Des données non-prises en compte
Pour la sixième année consécutive, la valeur limite journalière européenne pour les particules fines a été respectée en Flandre et à Bruxelles. Du côté de la Wallonie, c’est la cinquième année consécutive. Selon le site de Paris Match,
Cette limite de 50 µg/m³ ne peut être dépassée plus de 35 jours annuellement. En 2019, dans la majorité des points de mesure (56 sur 76), le nombre de dépassements est resté stable ou a diminué par rapport à 2018. Une augmentation du nombre de jours de dépassement a toutefois été constatée dans 18 sites de mesure.”
Malgré cette jolie amélioration, il y a encore du boulot! En effet, la rue Belliard et Arts-Loi restent les gros points noirs de la capitale, avec des dépassements constatés dans ces zones. Il en va de même le long du ring à Anvers. Comme le rapporte la Cellule interrégionale de l’environnement, “ces points de mesure sont représentatifs de la qualité de l’air de leur environnement immédiat mais pas de l’exposition globale de la population de Bruxelles ou Anvers, c’est pourquoi elles ne peuvent être prises en compte pour l’évaluation de la qualité de l’air”.
Des résultats encourageants pour 2020, mais soulignant un besoin important de continuer les efforts pour améliorer la qualité de l’air dans notre plat pays.
Source: Paris Match
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