
Êtes-vous coupable de Tsundoku, le fléau de nombreux lecteurs?
Vos étagères débordent de livres que vous avez à peine feuilletés? Dans votre chambre s’empile une tonne de bouquins jamais ouverts? A coup sûr, vous aussi, vous souffrez de “Tsundoku“.
On en veut toujours plus!
D’origine japonaise, le “Tsundoku” désigne l’art d’empiler des livres sans jamais les ouvrir. Si ce terme ne date pas d’hier, il est particulièrement d’actualité à notre époque. Entre ceux qui accumulent les livres pour “faire jolis dans le salon” et les amoureux de la lecture qui achètent des bouquins en sachant très bien qu’ils n’auront pas le temps de les lire, cette tendance touche tout le monde.
Il vient de loin le tsundoku
Quand il fut inventé au 19e siècle au Japon, lors de l’ère Meiji, le “tsundoku” désignait une bourgeoisie nipponne très soucieuse du regard des autres et de ses apparences culturelles. “Tsunde” signifie “empiler” et “oku” signifie “délaisser”. Deux siècles plus tard, le terme japonais n’a pas pris une ride car, on est prêt à parier, que vous aussi vous êtes coupable de “tsundoku”. Sur Instagram, il suffit d’un bref coup d’œil pour mesurer l’étendue du phénomène...
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