FLAIR BOOK CLUB : on a tellement aimé ““Comme dans un roman d’été”” qu’on l’a lu deux fois
Il y a des romans qu’on aimerait ne jamais terminer, et “Comme dans un roman d’été” est de ceux-là. Romantique à souhait, et hyper bien écrit, il nous a fait chavirer, tant et si bien qu’on l’a lu deux fois.
Confession: on adore (adore, adore, adore) Emily Henry. Découverte par hasard chez Mayersche, où son roman “People We Meet On Vacation” était renseigné dans les coups de coeur de l’équipe, cette romancière américaine nous a directement séduites grâce à sa conception de la comédie romantique version papier.
Soit, une pression qui monte lentement jusqu’à devenir presqu’insoutenable, un humour mordant et des dialogues et situations surtout pas gnangnan. Vous l’aurez compris, à la rédac’, on est love de ses écrits, et on vous dit pourquoi “Comme dans un roman d’été” va vous faire chavirer.
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Le résumé
“Augustus Everett est un écrivain « sérieux », considéré comme le nouveau génie des lettres américaines. January Andrews ne compte plus les bestsellers publiés, mais dans un tout autre registre : la comédie romantique. Si elle multiplie les happy endings, Augustus réserve à ses personnages des destins épouvantables.
Aux antipodes l’un de l’autre, ils vont néanmoins se croiser et se lancer un défi. Elle passera l’été à écrire un grand roman littéraire, lui s’essayera à une comédie sentimentale. Afin de trouver l’inspiration, January organise pour Augustus des excursions romantiques, et lui l’emmène à la rencontre de personnes à l’existence brisée.
Chacun devra achever son roman avant la rentrée et, bien évidemment, aucun des deux n’imagine tomber amoureux. Bien évidemment.
Comédie romantique d’exception, Comme dans un roman d’été est aussi une réflexion passionnante et pleine d’humour sur l’art d’écrire, portée par des personnages attachants et dont la vivacité d’esprit imprègne tout le roman”.
Et en 3 mots-clés?
#amourhaine
#défi
#comédieromantique
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Pourquoi on a adoré “Comme dans un roman d’été”
Déjà, au risque de se répéter, ce n’est pas tant qu’on a “adoré”, c’est qu’on a A-DO-RÉ. Surkiffé. Coup de foudre. Tant et si bien qu’on l’a lu dans sa v.o. anglaise lors de sa sortie... Puis à nouveau en français après. Adoré? Adoré.
Déjà, parce que dès les premières pages, on se visualise parfaitement dans le village balnéaire où se retrouvent bien malgré eux January et Augustus. Et une fois qu’on s’y est téléportés mentalement, non seulement on y reste, mais en prime, on se fond dans la peau de January et de ce qu’elle éprouve pour son ancien ennemi juré qui va (très vite) la faire chavirer.
Car c’est là tout le talent d’Emily Henry: rédiger des romans immersifs, appuyés par une écriture fraîche, drôle et intelligente, qui permet de s’identifier à ses personnages, ce qu’ils vivent, pensent et ressentent. Délicieux paradoxe de “Comme dans un roman d’été”: bien qu’il se lise à toute vitesse grâce au rythme soutenu de l’écriture, on a envie de ralentir pour ne pas terminer le livre. Et une fois qu’on y arrive? On rêve de rencontrer un Augustus de l’autre côté de la clôture (sans rancune pour nos chères et tendres).
À qui ça va plaire
Vous êtes du genre à mater toute nouvelle comédie romantique dans les 48h max suivant son arrivée sur une plateforme de streaming? Préparez-vous, ce livre est fait pour vous. Vous n’aimez rien tant qu’une romance construite sur le rapport amour-haine, avec toujours le suspense de est-ce que ça va se produire ou pas? Pareil.
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Malin, tendre, séduisant, drôle et frais, “Comme dans un roman d’été” est, ainsi que son titre le laisse d’ailleurs supposer, le roman parfait à glisser dans sa valise ou à savourer en fin de journée quand on rentre du bureau. Il permet de s’évader, de se vider la tête, et puis surtout aussi, de se rappeler que l’amour est parfois là où on s’y attend le moins, et qu’il ne faut jamais perdre espoir.
« Comme dans un roman d’été », Emily Henry, 400 pages, Le Cherche Midi, 21€, plus d’infos ici.
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