7 trucs qui prouvent que la rhéto était la meilleure année scolaire
Alors que la rentrée universitaire pointe tout doucement le bout de son nez, on regrette soudainement le bon vieux temps de la rhéto. Cette époque révolue où on était les plus grands, les plus forts, les plus fous.
Voici 7 raisons qui nous donnent envie de revivre cette année une dernière fois.
Les reines de la récré
Qui n’a jamais envié les 6ème, ces êtres différents qui savaient déjà tout, qui impressionnaient. Une fois en rhéto, une fois notre tour, on devenait les “grands” de l’école. On recevait tous les pouvoirs entre nos mains pour régner en maîtres des élèves (avouez, c’est ce qu’on pensait à ce moment-là).
Le show
Le show des rhétos, ou spectacle de fin d’année, était l’événement attendu de l’année scolaire par toute l’école. On répétait tous les mecredis après-midi et chacun y allait de son talent: les blagueurs, les chanteurs, les musiciens, les danseurs... Le plus drôle étant, évidemment, de se moquer des profs (mais toujours gentiment!).
Le bal
Il y avait deux questions existentielles liées au bal: quelle tenue? Quel.le cavalier.ère? On s’était toutes données rendez-vous au même endroit pour se préparer entre nous. Entre pose de vernis, brushing et parents insistants pour prendre une photo, on se sentait un peu comme Julia Roberts sur un tapis rouge.
Les sorties autorisées
Plus besoin d’escalader le mur ou de distraire l’éducateur pour sortir en catimini. En rhéto, les sorties sont autorisées sur l’heure de midi. Fini les plats pourris de la cantine et bonjour les sandwichs à 3,80 €. Et ça, les ami.e.s, c’est ce qu’on appelle la liberté. Eh ouais.
Le voyage
Aaaah le voyage des rhétos. Toute une aventure! Peu importe la destination, il s’agit définitivement d’un merveilleux moment duquel on revient la tête remplie de souvenirs!
Les potes
Quand on était en rhéto, on ne parlait pas encore de “squad” mais on avait notre bande de potes. Ceux qui deviendront nos meilleurs amis pour la vie et sans qui rien n’aurait été pareil.
Le bon vieux temps
Parce qu’il faut se faire à l’idée qu’on ne peut pas retourner en arrière mais qu’on peut tout de même être un peu nostalgique, on lève son verre à la meilleure année scolaire du secondaire.
La belle époque:
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