Lors d’une longue interview avec un spécialiste des traumatismes, le prince Harry s’est confié sur son recours aux drogues ainsi que sur son combat pour ne pas transmettre ses traumatismes à ses enfants.
Depuis la sortie de son livre et de son documentaire Netflix, le prince Harry semble bien décidé à révéler les moindres recoins de sa vie privée. Le samedi 4 mars, le mari de Meghan Markle s’est entretenu longtemps avec Gabor Mate, spécialiste des traumatismes, pour une vidéo diffusée en direct. Il a alors révélé que la consommation de cannabis l’avait nettement aidé, lui permettant de se sentir “détendu et léger”, deux sensations devenues compliquées pour le duc de Sussex, dû aux événements traumatiques de sa vie. C’est après en avoir consommé à des fins récréatives qu’il s’est rendu compte que le cannabis était bénéfique pour sa santé mentale.
Lire aussi: Cette entreprise peut désormais vendre de la cocaïne au Canada
De nombreux traumatismes
Le docteur Gabor Mate a utilisé son expertise pour diagnostiquer le prince, expliquant que celui-ci souffrait d’un trouble déficitaire de l’attention, mais aussi de plusieurs traumatismes, causés notamment par la perte de sa maman à l’âge de 12 ans, mais aussi par ses années passées dans les forces armées britanniques en Afghanistan.
Se sentir différent
Le Prince Harry s’est également confié sur les sentiments douloureux qu’il avait longtemps ressentis dans sa famille. « Tout au long de ma vie, de mes jeunes années, je me suis senti légèrement différent du reste de ma famille. Je me sentais étranger et je sais que ma mère (la princesse Diana, ndlr) ressentait la même chose ». Il a enfin évoqué la peur qu’il avait à transmettre ses traumas à ses enfants, Archie, 3 ans et Lilibet, 1 an.
Lire aussi:
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici