Les deux reportages qu’il faut absolument voir sur Tchernobyl
La série “Chernobyl” remporte un succès fou et a même dépassé “Game of Thrones” en terme de popularité. La catastrophe nucléaire la plus grave de l’humanité fascine encore. Trente-trois ans après, certains Youtubeurs se sont aventurés dans la zone.
Si l’explosion du réacteur 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl et ses conséquences sont un sujet qui vous intéresse, si après avoir regardé la série vous vous posez encore des questions ou voulez tout simplement voir les véritables lieux du drame, ces reportages vont vous fasciner.
Le dernier en date
La chaîne Mamytwink, tenue par trois Youtubeurs, a sorti il y a à peine une semaine un reportage d’une heure sur leur découverte de la ville fantôme de Pripyat qui se trouve à moins de trois kilomètres de la centrale. Ils se sont aventurés dans les appartements abandonnés et même au plus près de la centrale. Leurs images sont à couper le souffle. Grâce aux vidéos prises au drone, on peut se faire une idée du périmètre désert qu’est devenu cet endroit. Le plus marquant reste le final. Ils osent pénétrer dans la pièce qui contient encore les tenues des pompiers qui ont tenté d’éteindre l’incendie provoqué par l’explosion du réacteur. Ces équipements sont ultra radioactifs et n’ont donc jamais été déplacés.
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Le plus instructif
Bien qu’il date maintenant de quelques années puisqu’il a été tourné à l’occasion des trente ans de la catastrophe, le reportage du Youtubeur Anil B reste le meilleur à nos yeux. Pendant 27 minutes, il décortique tous les événements qui ont mené à ce terrible incident, à travers de nombreuses anecdotes. Par exemple, la grande roue de Pripyat que vous apercevrez dans le reportage n’a fonctionné qu’une journée, celle de l’explosion, car le parc d’attraction venait juste d’ouvrir. Le lendemain, la ville a été évacuée. Chaque bâtiment qu’il nous fait découvrir est chargé d’histoires qu’il nous raconte à l’aide d’images d’archives. Les témoignages sont poignants, en particulier celui d’une femme de 83 ans, habitante de la zone de restriction de 30 kilomètres autour de la centrale.
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