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L’ex-maîtresse de David Beckham s’exprime suite au documentaire Netflix

La rédaction

Rebecca Loos, l’ex assistante et présumée maitresse de David Beckham, oppose sa version des faits à celle du documentaire Netflix “Beckham”.

Dans la série-documentaire “Beckham”, dont les 4 épisodes sont en diffusion sur Netflix, David n’hésite pas à parler de son enfance, de sa dynamique familiale ou encore… de la relation extra-conjugale qu’il a eue en 2003, alors qu’il venait tout juste de s’installer en Espagne pour jouer dans l’équipe du Real Madrid. L’affaire avait éclaté au grand jour un an plus tard, lorsque sa maîtresse, Rebecca Loos, son assistante personnelle, avait dévoilé leur aventure aux médias. Dans le documentaire, Beckham évoque alors la tristesse que sa femme, Victoria, avait alors traversé:

Ça a été terriblement difficile de la voir si blessée, mais nous sommes des battants, et à cette époque, nous devions nous battre pour l’autre, nous devions nous battre pour notre famille. Ce que nous avions valait la peine de nous battre.

Lire aussi: ON A VU: la série documentaire “Beckham” de Netflix

La lâcheté prétendue de Beckham

Mais l’ex-maîtresse de David Beckham n’est pas tout à fait d’accord avec la version des faits présentées dans le documentaire Netflix. Selon elle, l’ex-athlète se fait passer pour une victime et la fait passer, elle pour une menteuse. Dans une interview menée par des journalistes du Daily Mail, la mannequin a tenu à pointer du doigt la lâcheté du joueur de foot: “Il peut dire ce qu’il veut bien sûr et je comprends qu’il a une image à préserver, mais il se présente comme une victime et il me fait passer pour une menteuse, comme si j’avais inventé ces histoires”. Et de continuer: “Il sous-entend indirectement que c’est moi qui ai fait souffrir Victoria (...), mais il doit juste prendre ses responsabilités.”

La mannequin, qui a refait sa vie en Norvège, où elle vit avec son mari et ses 2 enfants, déplore aussi que cette histoire ressurgisse des années après les faits. « J’ai aussi une famille et j’ai aussi des enfants et ils ont aussi Google et ils peuvent aussi regarder des documentaires. Et je veux qu’ils sachent que leur mère a eu le courage de s’opposer à eux et de défendre la vérité ».

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