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Everything Everywhere At All Once © A24

ON A VU: ““Everything Everywhere At All Once””, le film qui a raflé tous les Oscars

Manon de Meersman

Dix ans après tout le monde, nous avons été voir “Everything Everywhere At All Once”, le film qui s’est vu récompenser par de nombreux Oscars lors de la dernière Cérémonie. Verdict: on a adoré.

“Everything Everywhere At All Once”, ça raconte quoi? “Evelyn Wang tient une laverie avec son mari, Waymond qui veut divorcer. Evelyn est à bout. C’est alors qu’elle fait la connaissance d’Alpha Waymond. Ce dernier est une version alternative de Waymond. Il lui explique que de nombreux univers parallèles existent, car chaque choix fait engendre la création d’un nouvel univers. Les habitants de l’Alphaverse ont ainsi développé une technologie permettant d’accéder aux compétences, aux souvenirs et au corps de leurs homologues de l’univers parallèle.”

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On ne va pas se mentir, lorsqu’on a lu le résumé, on s’est dit: “OK, on va rien comprendre, ça va être sympa, ça va être comme quand on est sorties d’avoir vu ‘Tenet’ (insérer un rire nerveux ici)”. Et au final, la surprise fut incroyable: ce film est si absurde qu’il en est un véritable chef-d’oeuvre.

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Pourquoi on a aimé?

Dès les premières minutes du film, nous rentrons dans une ambiance particulière, au coeur de la vie d’Evelyn et son mari. On est emportés dans leurs problèmes, leurs galères, leurs réflexions, leur stress, leurs inquiétudes. Et très vite, on embarque pour le métaverse, et une infinité d’univers tous plus dingues les uns que les autres. Tout est réfléchi depuis un oeil absurde aiguisé. Tout est pensé selon des codes décalés. Rien et tout à la fois possède du sens. Et c’est ça qui est bon dans “Everything Everywhere At All Once”. Chaque momet est complètement loufoque, mais tout se tient: on ne décroche pas une seule seconde, à tel point que lorsque le film se termine, on s’étonne: “Tiens, ça faisait déjà 2h15?!”.

Aussi, reconnaissons-le, ce qu’on a le plus aimé dans ce film, ce sont les émotions qu’il nous a procurées. Tendresse, questionnement, rire – et quels fous rires! On a été jusqu’à rire aux larmes, que c’est bon! – on embrasse une palette de ressentis qui nous font vivre l’histoire de l’intérieur. On a retrouvé l’essence-même de ce qu’on apprécie lorsqu’on se rend au cinéma: se laisser emporter par l’oeuvre au moment des salles obscures, et y repenser, le sourire aux lèvres, les heures qui suivent sa vision. Et les acteurs et actrices qui composent le casting n’y sont évidemment pas pour rien. Nous soulignons effectivement la performance de l’actrice principale, Michelle Yeoh, qui est excellente. Jamie Lee Curtis, Stephanie Hsu et Ke Huy Quan sont tout aussi impresionnants dans leurs rôles et nous font vivre l’histoire à son climax. On comprend désormais pourquoi ce film a rafflé tous les Oscars!

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