On soutient les musées bruxellois en sirotant un Campari à l’apéro
En ces temps incertains, avec les fêtes qui approchent et les journées qui raccourcissent, on a moins besoin d’excuse que jamais pour prendre l’apéro. Et quitte à trinquer, on fait “tchin” pour la bonne cause avec les nouveaux coffrets apéritifs Campari.
Après avoir sollicité des artistes pour imaginer des sous-verres ouvragés ou encore une campagne en soutien au monde de l’art, Campari dévoile désormais ses “Art Box”, soit cinq coffrets en édition limitée, illustrés par des artistes belges. Objectif continu: soutenir le monde de l’art, un secteur cher à Campari, qui a tenu à reverser une partie de chaque coffret à Brussels Museum, l’association sans but lucratif indépendante qui réunit plus de 100 musées bruxellois et défend leur accessibilité à tous et toutes.
Campari adoucit l’amertume
“Nous avons toujours mis l’art, la passion et la création au centre de sa démarche et Campari collabore depuis de nombreuses années avec des artistes aux multiples talents. Il est donc tout naturel pour la marque de soutenir et de s’engager en faveur d’un secteur qui lui est cher” explique-t-on du côté du célèbre apéritif italien délicieusement amer. Pas d’amertume cet hiver, mais plutôt un cocktail solidaire: disponibles dès aujourd’hui en édition limitée sur le site www.camparicreates, les coffrets, vendus au prix de 24,5 €, ont été illustrés par Jesse Willems, Bent Van Looy, Joëlle Dubois, Marie Rosen et Colin Waeghe.
Cinq artistes belge qui ont chacun.e sublimé un coffret contenant deux verres ouvragés, une cuillère à mélanger, et une bouteille de Campari, what else? Ainsi que l’explique Pieter Van der Gheynst, directeur de Brussels Museums, “nous sommes très heureux et honorés de partager le succès de ce beau projet créatif, initié par Campari. Il est plus que jamais nécessaire de souligner l’importance de l’art et de la culture”.
En période d’incertitude et de manque de perspective, les musées ont un rôle important à jouer. Ils sont les garants et les vitrines des idées, de la beauté et apportent réconfort et bien-être mental. Nous considérons les musées comme des institutions essentielles, fournissant des ‘services mentaux essentiels'”.
On n’avait pas besoin d’excuse pour siroter l’apéro, mais si quiconque nous dit quoi que ce soit, on ne manquera pas de souligner qu’on savoure un Negroni pour la bonne cause. Salute!
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