9 films d’horreur qui nous ont littéralement traumatisées
Si aujourd’hui, on a beau apprécier les films d’horreur, il y a de ça plus d’une dizaine d’années, cela nous a valu de nombreux cauchemars et quelques veilleuses pour s’endormir paisiblement une fois la nuit tombée.
Vous connaissez ce moment où, à l’âge de 10 voire 12 ans, vous décidez de regarder un film d’horreur bien flippant et qu’il vous traumatise pour le restant de vos jours? Nous, oui.
Petit tour d’horizons de ces long-métrages horrifiants qui nous glacent encore le sang aujourd’hui – mais qui, qu’on se le dise, avec le recul, ne sont pas forcément les plus flippants de la terre entière, on est bien d’accord...
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“L’exorciste”
La version de 1973 avait tout pour nous faire flipper lorsque nous étions gamin·e·s. “L’actrice Chris McNeil est inquiète au sujet de sa fillette Regan : après que l’on ait entendu des bruits curieux venant de sa chambre, la petite a changé, proférant de constantes insanités. Une force para-normale l’habite, qui coûte la vie au metteur en scène de Chris. Désespérée, cette dernière fait appel à deux exorcistes...”
PS: on parle du moment où elle descend les escaliers en faisant le pont ou...? On se tait, oui.
https://www.youtube.com/watch?v=pf63XT925Os
“Le Cercle”
Depuis, on regarde notre télévision autrement, qu’on se le dise.”Un jour, une cassette vous parvient. Sans étiquette ni marque distinctive. Semblable à des millions d’autres. Si la curiosité vous pousse à la visionner, vous serez rapidement subjugué par un enchaînement d’images troublantes, de visions cauchemardesques, un entrelacs d’obscurs et envoûtants symboles. Sitôt sorti de cette épreuve, votre téléphone sonnera et une voix surgie du néant vous informera que vous n’avez plus que sept jours à vivre.”
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“Creep”
Prendre le métro le soir? Depuis “Creep”, on voit les stations autrement... “Londres, par une froide et triste nuit d’hiver... A minuit, au sortir d’une soirée chic copieusement arrosée, Kate guette vainement un taxi avant de se résoudre à prendre le dernier métro. Sous l’effet de l’alcool, la jeune femme ne tarde pas à s’assoupir. A son réveil, la rame est déserte... Affolée, Kate se dirige vers la sortie, mais les grilles sont déjà fermées. Un train s’arrête alors, elle y monte, quelque peu inquiète d’en être la seule occupante. Au beau milieu du tunnel, le convoi s’arrête brutalement, toutes les lumières s’éteignent... Et le cauchemar commence...”
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“Chucky”
Doit-on encore dire pourquoi ce film nous a filé la chair de poule? Franchement, après la vision de “Chucky”, il était hors de question d’encore jouer à la poupée. “Grâce à quelques formules magiques d’origine vaudoue, le tueur Charles Lee Ray, traqué par le détective Mike Norris, se réfugie dans un magasin de jouets et se réincarne dans une grande poupée représentant un garçonnet. Le lendemain une mère offre cette poupée à son fils.”
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“Le Silence des Agneaux”
Parce que, pour l’époque, les effets étaient vraiment pas mal et qu’il y avait matière à nous faire froid dans le dos. “Un psychopathe connu sous le nom de `Buffalo Bill’ sème la terreur dans le `Middle West’ en kidnappant et en assassinant de jeunes femmes. Clarice Starling, une jeune agent du FBI, est chargée d’interroger l’ex-psychiatre Hannibal Lecter. Psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme, Lecter est capable de lui fournir des informations. Entre eux s’établit un lien de fascination et de répulsion.”
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“REC”
“Une jeune journaliste et un collègue suivent des pompiers pour une intervention dans un appartement. Prise à son propre piège, la journaliste est enfermée avec le scoop qu’elle désirait ardemment. Elle embarque le spectateur dans un huis clos terrifiant quand un nouveau virus transforme les infectés en dangereux zombies.”
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“Amityville”
“Amityville, 13 novembre 1974. Dans une maison bourgeoise, un jeune homme, dans un accès de démence, massacre ses parents, ses frères et ses soeurs. Quelque temps plus tard, cette maison est mise en vente à un prix défiant toute concurrence. La famille Lutz l’achète sans connaître la tragédie qui s’y est déroulée.”
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“Ça”
Et puis, on ose nous demander d’où vient notre peur des clowns?! “À Derry, dans le Maine, sept gamins ayant du mal à s’intégrer se sont regroupés au sein du Club des Ratés. Rejetés par leurs camarades, ils sont les cibles favorites des gros durs de l’école. Ils ont aussi en commun d’avoir éprouvé leur plus grande terreur face à un terrible prédateur métamorphe qu’ils appellent Ça.”
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Le Village
“Une petite communauté isolée vit dans la terrifiante certitude qu’une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n’ose s’aventurer au-delà des dernières maisons, et encore moins pénétrer dans les bois. Le jeune Lucius Hunt, un garçon entêté, est cependant bien décidé à aller voir ce qui se cache par-delà des limites du village, et son audace menace de changer à jamais l’avenir de tous.”
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