ON A VU: ““Buying Beverly Hills”” la version famille (tout aussi bitchy) de ““Selling Sunset””
Si vous êtes accro aux propriétés incroyables et au drama tout aussi ahurissant de “Selling Sunset”, vous allez adorer “Buying Beverly Hills”, la version familiale mais tout aussi bitchy de la célèbre téléréalité du géant du streaming.
Diffusée elle aussi par Netflix, “Buying Beverly Hills” suit les (més)aventures de l’équipe d’une agence immobilière de luxe, entre propriétés de rêve (littéralement, puisque le commun des mortels ne peut que rêver se les payer), panoramas incroyables sur Los Angeles et, forcément, drama drama dramaaaaa.
Le résumé officiel de “Buying Beverly Hills”?
The Agency, l’entreprise familiale de Mauricio Umansky, représente certaines des résidences les plus luxueuses de Beverly Hills. Mais gare aux prises de bec !
Et pour la petite histoire...
Si les noms de Mauricio, Alexa et Farrah vous sont familiers, c’est parce qu’il s’agit du mari et de deux des filles de la star des Real Housewives de Beverly Hills (ainsi que d’une des tantes de Paris Hilton), Kyle Richards. Laquelle se garde bien d’apparaître dans la série, peut-être pour cause de contrat concurrent avec “E!”?
Pourquoi on a binge-watché la série
Avec ou sans Kyle, du scénario au porn immobilier de fou, “Buying Beverly Hills” est aussi addictive qu’une tablette de chocolat au lait industrielle: on sait qu’il y a meilleur, plus qualitatif, qu’on devrait passer notre temps autrement, mais c’est fondant et d’autant plus savoureux qu’il s’agit d’un plaisir coupable. La jeune génération de l’agence est clairement là pour apparaître à l’écran plus que pour vendre des biens immobiliers (coucou Joey et Sonika) mais curieusement, ça ne gêne pas, ou en tout cas, bien moins que la chirurgie esthétique pas du tout réussie de deux des membres de The Agency (on ne citera pas de noms mais l’une est blonde et l’autre brune).
Tiens, et les comparaisons avec “Selling Sunset”, qu’est-ce qu’ils en pensent? Dans un entretien accordé à “Fox News”, Mauricio Umansky a confié que contrairement au casting de l’agence Oppenheim, tous les agents de The Agency bossaient déjà pour lui avant que les caméras ne se mettent à tourner. En d’autres mots: “on les a recrutés pour leur talent en tant qu’agents immobiliers, et pas parce qu’ils passent bien à l’écran”. Même si, forcément, dans une ville comme Beverly Hills, c’est le cas quand même...
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