ON A VU: le documentaire de Netflix sur Angèle
Par un dimanche gris, on s’est glissées sous un plaid et on a maté le documentaire de Netflix sur Angèle. Résultat? On a pleuré à peu près cinq fois, et on voit désormais la chanteuse avec un autre regard.
À quelques jours de la sortie de son nouvel album “Nonante-cinq”, Netflix a dévoilé le documentaire sur Angèle, chanteuse belge de 25 ans que l’on ne présente même plus tant son succès a pris de l’ampleur à l’international.
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Un documentaire touchant
Le documentaire commence avec des mots d’Angèle, écrits dans son journal intime. “La vraie Angèle, je l’ai perdue. Je ne sais plus qui je suis.” Le ton est donné. On découvre au fil des images une jeune femme touchante, sensible, angoissée, stressée et apeurée par cette montée vertigineuse qui l’emmène au sommet de la popularité.
Le documentaire est conté par Angèle, à coups d’écrits issus de ses carnets ou de souvenirs, mais également par les personnes qui l’entourent, comme sa mère, Laurence Bibot, son père, Marka, son frère, Roméo Elvis, ou encore sa manager, Sylvie Farr et sa grand-mère, Mamy Pilou. Les sujets abordés sont nombreux et ne manquent pas de mettre en lumière la manière dont certains évènements ont affecté la jeune femme. De son outing volé à la publication d’une photo qu’elle ne voulait pas voir diffusée, Angèle se met à nu et expose ses sentiments, ceux qui ont fait d’elle le personnage fort qu’elle a construit au fil des mois. À plusieurs reprises, les images et les mots qui résonnent dans le docu’ nous mettent les larmes aux yeux et on se surprend à en sentir ruisseler quelques unes le long de nos joues. Il faut dire qu’on y découvre une Angèle loin des feux des projecteurs et qu’en fait, Angèle, c’est une nana comme vous et nous au final. Et ça, on a tendance à l’oublier lorsqu’une personne est propulsée au paroxysme de la célébrité.
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