ON A VU: ““Selling the OC””, le spin-off de ““Selling Sunset””
En tant que fan incontournable de la télé-réalité “Selling Sunset” de Netflix, impossible pour nous de ne pas enchaîner avec la toute première saison de “Selling the OC”, diffusée ce 24 août dernier. Voici notre verdict.
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Qu’est-ce que c’est?
“Selling The OC” est le spin-off de la télé-réalité “Selling Sunset”. Il suit Jason Oppenheim (que vous reconnaîtrez sûrement) alors qu’il ouvre un deuxième bureau de son agence immobilière “The Oppenheim Group” à Orange County, en Californie. Au programme: une toute nouvelle équipe d’agents immobiliers (dont des hommes, la grande nouveauté comparée à la série originale qui ne montre que des femmes en haut-talons de la mort), des villas somptueuses face à l’océan et évidemment: du drama à ne plus savoir où donner de la tête.
Le verdict?
On ressort clairement épuisée moralement du visionnage des 8 épisodes que constitue la première saison. Du drama, du drama et encore du drama, voilà comment on le résumerait. Est-ce qu’on est la seule à vouloir regarder le show réellement pour découvrir des villas fabuleuses au bord de l’eau et en savoir plus sur la vente immobilière ? Non, il n’y a que nous? Et bien c’est dommage car à force de voir les agents se prendre la tête en boucle pendant 5 heures, de notre côté, on en peut tout simplement plus.
On adorait Christine, la “méchante” de Selling Sunset qui assumait à 100% son franc parler, son amour inconditionnel pour le shopping et les commérages. Ici, on est face à Alex Hall, une vraie mean girl des temps modernes qui paraît inoffensive et chaleureuse au départ mais qui va très vite se révéler être pire que Regina George dans le film iconique.
Il faut aussi savoir que tout le bureau se ligue contre Alexandra Jarvis et Alexandra Rose, deux jeunes femmes talentueuses qui vendent – vraiment – des maisons durant la première saison. Immédiatement, leur duo attise la jalousie des autres agents qui vont même jusqu’à prétendre qu’Alexandra Rose obtient ses contrats en entretenant des relations sexuelles avec ses clients. Une jalousie absolument ridicule, en particulier sachant que tous les agents sont supposés être des adultes matures et pas des ados de 13 ans. Et soyons honnête, s’ils dépensaient ne serait-ce qu’un quart de l’énergie qu’ils vouent à se cracher dans le dos les uns des autres, peut-être que ça leur arriverait de vendre un peu plus de maisons.
Bref, on s’attendait vraiment à mieux mais malheureusement, “Selling the OC” reprend les mêmes tropes qu’on appréciait qu’à moitié dans “Selling Sunset” mais en encore plus poussé, pour notre plus grand dam. Cette nouvelle équipe est beaucoup moins attachante que l’originale et on est à deux doigts de nous faire regretter Christine et ses (fausses) amies du côté de L.A.
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