ON A VU: ““Your Christmas or Mine””, le film de Noël avec Asa Butterfield
Avec “Your Christmas or Mine”, Amazon Prime a frappé fort en s’offrant un film de Noël avec Asa Butterfield à l’affiche. Mais cette comédie romantique saisonnière est-elle à la hauteur de la hype?
On s’est dévouées (ah!) et on l’a dévorée à la lueur du sapin pour déterminer si oui ou non, “Your Christmas or Mine” mérite de rejoindre votre liste de films de Noël à ne rater sous aucun prétexte. Mais d’abord...
Qu’est-ce que ça raconte?
Comme le titre le laisse supposer, il s’agit d’un imbroglio de Noël. En l’occurence, “Alors qu’ils montent dans leurs trains respectifs pour rejoindre leurs familles deux jours avant Noël, Hayley et James décident de changer de destination pour passer les fêtes ensemble. Ils découvrent bientôt qu’ils ont eu la même idée et se retrouvent coincés dans la famille de l’autre à cause de grosses chutes de neige. Leur amour survivra-t-il aux révélations qui les attendent sous le sapin ? “.
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Bilan en demi-teinte pour “Your Christmas or Mine”
Un scénario prometteur, qui laisse imaginer une rom com de Noël aussi inventive que le genre peut l’être, façon “Flocons d’amour” ou bien le délicieux “Dash & Lily”, dont on attend toujours avec impatience que le deuxième volet soit adapté à l’écran. Et au début du film, entre ambiance typiquement britannique, humour et dialogue bien ficelé, l’illusion perdure. Malheureusement, assez rapidement, le film oscille sans jamais se décider entre film de Noël qualitatif et téléfilm doucereux, avec d’un côté, des scènes et des intrigues assez réussies, et de l’autre, des dialogues et des rebondissements tellement gros qu’ils prennent toute la place à l’écran.
Un bilan mitigé, donc, même si au final, le mélange fonctionne et on se surprend à avoir tout de même envie de découvrir le dénouement, même si on le devine assez vite (et que le film s’avère finir presque exactement comme on l’avait prédit). Mais après tout, n’est-ce pas là toute la magie paradoxale des comédies romantiques de Noël? Donnez-nous du suspense, de la frustration et même des larmes 11 mois par an, mais en décembre, par ici l’avalanche de bons sentiments!
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