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Toute la lumière que nous ne pouvons voir
©  Katalin Vermes/Netflix 2023

ON A VU: ““Toute la lumière que nous ne pouvons voir””, la mini-série historique captivante de Netflix

Ana Michelot
Ana Michelot Journaliste

Cette mini-série de quatre épisodes est le programme idéale en cette journée anniversaire du débarquement de Normandie. Tirée du livre éponyme, « Toute la lumière que nous ne pouvons voir » se déroule dans la France occupée des années 40. On y suit deux destins, celui d’une jeune Française aveugle et celui d’un jeune officier allemand enrôlé de force dans l’armée nazie.

On ne sait pas ce qui nous a le plus donné envie de regarder “Toute la lumière que nous ne pouvons voir”, le scénario signé par le créateur de « Peaky Blinders », la réalisation menée par le producteur de « Stranger Things » ou le roman d’origine sur lequel est basé l’histoire qui a reçu un Prix Pulitzer ? Finalement, c’est peut-être tout simplement son titre « Toute la lumière que nous ne pouvons voir ». Une phrase mystérieuse qui prend tout son sens au fil des épisodes. Ou encore le casting, où l’on retrouve Hugh Laurie, le célèbre « Dr House » ou encore Mark Ruffalo que l’on connaît sous les traits verts de Hulk dans « Avengers ». Sans oublier, Louis Hofmann vu dans la série « Dark » et surtout Nell Sutton et Aria Mia Loberti, les deux actrices aveugles qui incarnent l’héroïne enfant puis adolescente. La dernière n’avait jamais joué ni passé d’audition, pourtant sa performance à l’écran est bouleversante.

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Le résumé de “Toute la lumière que nous ne pouvons voir”

On découvre tout ce casting dans une ambiance tendue, celle de l’arrivée des nazis à Paris, qui poussent des milliers de gens à fuir la ville vers la campagne. C’est ce que font Marie-Laure Leblanc, une jeune fille aveugle passionnée de radio et son père Daniel Leblanc. Ils se réfugient chez une tante et un oncle. Mais arrivés à Saint-Malo, la guerre les rattrape très vite. En Allemagne, Werner Pfennig, orphelin prodige des transmissions radio, se voit recruté contre son gré par l’armée allemande et forcé à intégrer un institut de jeunesses hitlériennes extrêmement dur. Avant d’être envoyé au front pour traquer celles et ceux qui utilisent leurs postes pour écouter des ondes interdites.

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Pourquoi on a adoré ?

On a aimé que malgré le sujet tragique de la série, l’intrigue se concentre sur la bonté des personnages. Werner comme Marie-Laure refusent de céder à la violence omniprésente qui les entoure et à l’obscurité qui règne en cette période. À leurs côtés, on revit l’occupation mais aussi le débarquement des alliés sur les plages de Normandie. L’une va rejoindre la résistance en transmettant des messages codés à la radio pour les troupes britanniques et américaines, tandis que l’autre met tout en œuvre pour ne plus avoir à dénoncer des pauvres gens qui écoutent la radio. Tout les oppose, mais un lien secret se tisse entre eux. Au milieu de toutes ces atrocités qui mettent face à face un groupe à un autre, on se concentre sur les histoires personnelles de deux jeunes adultes qui refusent d’abandonner la lumière. On vous recommande chaudement cette mini-série qui se binge-watche en une soirée !

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