ON A TESTÉ : l’app’ Start 2 Run (et on ne peut plus s’arrêter de courir)

Mes stories Instagram peuvent faire penser le contraire, mais j’étais autrefois sportive. Je parle d’une époque révolue, celle où je faisais du jogging trois fois par semaine en préparation du Brussels Urban Trail, un parcours de 11 km à travers notre capitale. Pas pour le plaisir, mais parce que je voulais pouvoir inscrire un exploit sportif dans mon palmarès avant mes 30 ans. C’était il y a trois ans et je vais être honnête avec vous: après l’arrivée, j’ai rarement, voire plus jamais, participé à une course. Il est grand temps de recommencer à courir. Loïc Nottet, j’ai besoin de toi!

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START 2 WALK

Je n’aime pas trop les encouragements, je préfère souffrir en silence. Mon aventure Start 2 Run commence un vendredi matin tôt. Pour une fois, je suis la première réveillée et à me faufiler hors du lit en silence. Baskets aux pieds, écouteurs dans les oreilles et c’est parti. Bien que j’ai déjà parcouru 11 km dans le passé, je choisis le programme d’entraînement le plus facile. Pendant 30 séances d’entraînement d’une demi-heure environ, Loïc me guidera sur les 5 km à parcourir. Sa voix me salue comme un vieux copain et avant de m’en rendre compte, je suis déjà partie. Start 2 Run est connu pour alterner course et marche, idéal pour les sportif ·ve·s comme moi qui souhaitent (re)commencer à courir. Une minute de marche, une minute de course, deux minutes de marche, deux minutes de course et ainsi de suite.

Même si j’appréhendais ma première séance, en réalité, elle est tout à fait supportable grâce à cette alternance. Au moment où je sens un premier point de côté arriver, Loïc me laisse reprendre mon souffle et m’encourage doucement pendant que je marche. Contrairement aux coachs sportif·ve·s sur YouTube, Loïc est assez calme. Quel soulagement! Au bout de vingt minutes, mon premier entraînement est déjà terminé. Après des années d’immobilité, j’ai de nouveau fait de l’exercice en plein air sans douleur et sans perdre mon souffle, le tout avant 9 h du matin. D’accord, j’ai marché la moitié du temps, mais c’est un début. Et puis surtout, je peux me sentir supérieure à toutes les accros au yoga et autres gym sur Instagram. Quand elles publient leur premier entraînement de la journée, je suis déjà douchée et changée. Na!

COURIR AU BAR

Mon nouvel amour pour la course surprend tout le monde autour de moi, moi la première. Je fais mon jogging matin, soir et pendant ma pause de midi. J’emmène mes baskets au travail et chez ma mère, pour explorer de nouveaux parcours. Car les tours du parc de mon quartier deviennent vite ennuyeux. Le niveau débutant de Start 2 Run étant assez cool, je ne dois jamais me forcer à sortir et je m’exécute presque sans pleurnicher. Et parce que chaque entraînement ne dure qu’une trentaine de minutes en moyenne, je n’ai jamais d’excuse pour ne pas y aller. Et c’est là qu’il commence à pleuvoir, bien sûr... Heureusement, je trouve des vêtements de sport jamais portés quelque part au fond de mon placard. J’enfile une veste imperméable et je dois l’admettre: marcher sous la pluie, c’est pas si mal. En revanche, je ne suis pas équipée pour les périodes de fortes chaleurs. Pendant les quelques jours de haute température en juin dernier, j’ai zappé quelques entraînements.

Sauf qu’une semaine s’est transformée en deux, puis je suis partie en vacances à Corfou, où ma plus longue distance à pied a été de notre Airbnb au bar le plus proche. La culpabilité a commencé à me ronger. Dès mon retour à la maison, je me suis tout de suite remise à l’action. « Vous avez brûlé 150 calories », m’informe Loïc sans jugement après ma première séance sans exercice pendant un mois. Aucune idée de la quantité de tzatziki à laquelle ça correspond. J’ai vite retrouvé le goût du sport. Déterminée à rattraper mon retard, j’essaie de faire du jogging au moins deux fois par semaine. Voulant accélérer le processus, j’essaie secrètement de sauter quelques entraînements, mais l’application s’avère infaillible. C’est tout bonnement impossible. Heureusement, car les séances deviennent plus difficiles. Moi qui plaisantais au début, en disant qu’il s’agissait plutôt d’un club de marche, je suis heureuse de pouvoir respirer pendant une minute ou deux. Construire ma course petit à petit, sans douleur ni blessure, c’est de cela qu’il s’agit.

LA LIGNE DROITE

Quand les gens parlent de la fameuse euphorie du coureur, je ris. Je n’ai jamais connu ce sentiment provoqué par les endorphines en courant. Après chaque séance d’entraînement, je suis heureuse que ce soit fini. En revanche, me considérer comme une coureuse me fait me sentir bien. Je ne suis peut-être pas la plus rapide ou la meilleure, mais je n’ai pas à l’être. Start 2 Run n’est pas une question de compétition ou de performance, et c’est ce que j’aime. Loïc semble toujours aussi enthousiaste, que je sprinte ou que je trottine. Après chaque séance, des statistiques et des médailles virtuelles vous sont décernées pour la vitesse, la distance, le temps de course et plus encore, mais ce n’est pas une compétition. La seule personne contre laquelle vous vous battez, c’est vous-même.

Grâce à Start 2 Run, j’ai retrouvé ma motivation intrinsèque, comme on l’appelle si joliment. Je cours non pas parce que je dois – d’accord, peut-être juste un peu pour cet article – mais parce que je le veux, et en tant que flemmarde, c’est une petite révolution. Alors que la ligne d’arrivée approche, je pense déjà à mon prochain défi: 10 km. Grâce à Start 2 Run, j’ai retrouvé confiance en mes capacités sportives. Ai-je réussi à courir 5 km? Juste pas à temps pour la date limite de cet article, mais ce n’est pas grave. Avec les encouragements de Loïc, je finirai sereinement les dernières séances. Et cette fois, je suis déterminée à ne pas rester sans bouger pendant trois ans.

Grâce à Flair et Start 2 Run, entraînez-vous gratuitement avec votre coach Loïc Nottet pendant trois mois. Grâce au code unique sur la couverture de votre Flair, inscrivez-vous via Flair.be pour activer votre abonnement.

Start 2 Run: conseils pour les débutant·e·s

1. Investissez dans des vêtements de course adaptés à différentes conditions météorologiques, d’un bon imperméable avec une capuche à un t-shirt de course aéré. De cette façon, vous n’avez aucune excuse pour rester à l’intérieur quand il fait humide ou chaud dehors.
2. Connaissez-vous. Si vous n’êtes pas du matin, faites du jogging le soir. Si vous rentrez du travail épuisée, faites de l’exercice le matin ou l’après-midi.
3. Emportez votre équipement de course avec vous lorsque vous voyagez. De cette façon, vous pourrez découvrir de nouveaux itinéraires de randonnée et le sport ne deviendra pas ennuyeux.
4. Courrez avec un·e ami·e, votre amoureux·se ou même votre chien. Faites en sorte de rendre la course plus amusante!
5. Il va sans dire que vous devez boire suffisamment d’eau, mais n’oubliez pas non plus de manger avant de faire de l’exercice. Dégustez, par exemple, des flocons d’avoine, des toasts ou une banane une demi-heure avant le départ.
6. Obtenez un abonnement Spotify Premium, sauf si vous aimez entendre des publicités en faisant du jogging.
7. N’oubliez pas de sauvegarder votre session, sinon vous devrez la recommencer la prochaine fois. Cela m’est arrivé une fois, et plus jamais ça n’arrivera!

À propos de Start 2 Run

• Depuis son lancement en 2012, Start 2 Run a déjà été téléchargé deux millions de fois.
• Plus d’un demi-million de personnes utilisent cette application en ce moment.
• 800.000 km ont déjà été parcourus entre le 1er janvier et le 31 juillet de cette année. Cela correspond à 120 fois le tour de la Terre!
• L’application est disponible en sept langues. La version suisse allemande est la dernière en date.
• Chaque langue a un entraîneur célèbre différent. Ainsi, Loïc Nottet coache en français et Evy Gruyaert en néerlandais.
• Start 2 Run peut également être relié à un tapis de course, un moniteur de fréquence cardiaque ou une Apple Watch.
• Sur Spotify, vous trouverez des playlists spéciales Start 2 Run pour vous entraîner au rythme de la musique.
• Dans la dernière mise à jour, Loïc donne de nouveaux conseils et encouragements. Il a aussi enregistré des prénoms supplémentaires afin qu’encore plus de coureur·se·s reçoivent un message personnalisé « Allez Catherine, c’est bien! »

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