TRAVAIL: le homeworking serait bon pour l’environnement
En travaillant de chez soi, nous réduirions le trafic routier et les allers-retours entre le domicile et le lieu de travail. En effet, selon Cnews, rapporté par le site de GlamourParis, “le trafic routier et le secteur des transports comptent parmi les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre”. En restant travailler chez soi plusieurs jours par semaine, on réduit les émissions de carbone, on fluidifie le trafic et on se sent moins stressé par les calculs d’anticipation de bouchons sur la route.
Un effet positif contrebalancé
Le revers de la médaille, c’est que ces trajets économisés entre le domicile et le travail sont peut-être remplacés par d’autres. « Les gens vont en profiter pour effectuer d’autres déplacements, par exemple aller faire des courses ou chercher les enfants à l’école », explique à l’AFP Anne Aguiléra, chercheuse à l’Institut français des sciences et technologies des transports de l’aménagement et des réseaux (Ifsttar), selon le site d’information de la RTBF.
Même si ces trajets peuvent être moins longs que ceux pour se rendre au travail et en revenir, ils ont tout de même un impact sur la qualité de l’air... Le homeworking est donc une solution, mais ce qu’il faut, c’est voir les choses de manière globale. Step by step...
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Voilà ce à quoi nous pourrions ressembler à force de travailler derrière un bureau
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