10 choses à savoir pour un voyage au Vietnam réussi

Avec ses paysages de rêve et sa gastronomie irrésistible, le Vietnam fait sacrément envie, d’autant qu’il est possible d’y voyager sans se ruiner. Mais pour que le voyage de rêve ne tourne pas au cauchemar, il y a quelques trucs à savoir. 

Bien choisir son aéroport de départ

Pour éviter les connections et les voyages interminables, on choisit bien son aéroport de départ. Par exemple, en partant depuis Paris, qui propose des vols directs avec Air France.

Ne pas lésiner sur l’hôtel d’arrivée

Que l’atterrissage se fasse à Hanoi ou Ho-Chi-Minh Ville, le choc des cultures est immédiat, entre la foule, la pollution et la chaleur écrasante. Pour bien commencer son périple, mieux vaut s’offrir un hôtel avec piscine qu’une auberge de jeunesse bondée et surchauffée. Promis, vous serez ravies de pouvoir échapper à l’agitation de la ville.

Savoir se jeter dans le bain

D’accord, les bains de foule, les scooters qui partent dans tous les sens en klaxonnant, le tout dans une chaleur moite à couper au couteau, ça fait un petit choc culturel au début. Mais une fois qu’on se jette à l’eau, on s’y habitue très vite, et surtout, on apprend rapidement à rester vivant en traversant la route en imitant les locaux.

Oser sortir des sentiers battus

La baie d’Ha Long est bien évidemment sublime, mais aussi remplie de touristes, agglutinés sur des bateaux bruyants qui gâchent quelque peu le paysage. Juste à côté et tout aussi époustouflante, la baie de Bai Tu Long est relativement préservée. Pareil pour la jungle: plutôt que de se précipiter à Sapa où on retrouve touristes ivres et bars à karaokés, on se laisse séduire par le calme et la nature préservée de Mai Chau. 

Préparer ses papilles

Sur place, la nourriture vietnamienne est très différente de ce qui est servi dans les restaurants européens. Plus parfumée, plus épicée: elle ne manquera pas de séduire les amatrices de cuisine asiatique, à condition d’être prête à expérimenter des goûts vraiment différents.

Pratiquer le deux-roues... avec prudence

S’il est tentant d’imiter les locaux et de se déplacer partout en mobylette à toute vitesse, mieux vaut respecter certaines règles pour éviter de visiter les hôpitaux locaux. Soit le port du casque, bien sûr, mais aussi de vêtements par-dessus son bikini, et tant qu’à faire, limiter l’usage du deux roues aux villes côtières plutôt que de se lancer dans la marée de scooters de la capitale.

Prendre du matériel adapté

Pour profiter au maximum de la nature sublime du pays, mieux vaut prendre une veste légère imperméable et des chaussures de marche: la randonnée en tong, c’est marrant dix minutes, puis ça fait mal aux chevilles.

Ne pas hésiter à prendre des vols internes

La taille du pays peut donner envie de se limiter à en visiter une toute petite partie, mais beaucoup de villes disposent d’un aéroport, et les compagnies internes sont un moyen rapide et fiable de parcourir le Vietnam.

Respecter les habitants

Bon à savoir avant le départ: sur place, les Vietnamiens détestent perdre la face. Ce qui veut dire que votre chauffeur de taxi ne sera pas toujours franc avec vous si il ne sait pas où votre destination se trouve, et que si ça arrive, rien ne sert de s’énerver: vous risquez de grandement lui manquer de respect. 

Se préparer à en prendre plein les yeux

Entre les reliques historiques, les décorations colorées, les paysages à couper le souffle et la nourriture ouvragée, le Vietnam est un pays qui prend à la gorge et dont la magie reste longtemps après que les dernières traces de bronzage s’en soient allées.

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