8 situations que connaissent toutes les nulles en orientation
Pour certaines personnes, lire une carte est aussi facile qu’un livre et le GPS n’est qu’un secours en dernier recours. Pour d’autres, il est un véritable indispensable, et même comme ça, il y a moyen de se perdre. Si si, on a testé. Et ces 7 autres situations aussi.
1. La crainte d’être en edge
Pour le reste de la population, le “E” qui s’affiche à la place de la 4G signifie une pause désagréable et forcée dans le scrolling sur Instagram. Pour vous, ça veut dire que vous ne savez littéralement pas par où aller.
2. Les blessures de guerre
Quand on marche en regardant un plan sur son téléphone, on ne regarde pas où on va, forcément. Et parfois, c’est dans un arbre. Souvent, notre pied atterrit dans un ca(ça)deau canin, aussi.
3. L’amnésie des explications
Ce passant à qui vous demandez votre chemin vous débine à toute vitesse une liste de tournants longue comme un col de montagne. Vous retenez le premier, à droite, puis vous y attendez gentiment le prochain passant. “Non non, dites moi juste le prochain tournant, j’oublierai tout le reste”.
4. Le labyrinthe des villes nouvelles
Après une période plus ou moins longue d’essais-erreurs, vous parvenez enfin à vous repérer plus ou moins dans votre quartier. A chaque nouveau voyage, par contre, c’est pareil: vous retournez à la case zéro du labyrinthe, sauf qu’en plus, potentiellement, vous ne parlez pas la même langue que ceux qui pourraient vous aider.
5. L’amour infini du GPS
Cette petite boîte qui parle et qui montre et qui s’adapte quand vous parvenez quand même à vous tromper, qu’est-ce que vous l’aimez.
6. La haine intense du GPS
Et qu’est-ce que vous la détestez aussi. Par exemple quand elle vous envoie deux fois de suite sur une route barrée et que NON, vous n’avez pas les capacités pour deviner vous même par où aller.
7. Les retards forcés
Le moindre petit couac dans votre itinéraire peut se transformer en retard allant de quelques minutes à plusieurs heures suivant à quel point vous parvenez à vous perdre en tentant de retrouver votre chemin.
8. Les proches qui se transforment en auxiliaires de vie
Vous marchez en rue, et votre mec sourit, tout heureux que vous lui teniez la main. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’au-delà de l’amour, vous le faites par nécessité, parce que lui, au moins, sait où vous allez.
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