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5 bonnes raisons de courir voir ““Call Me By Your Name””

Justine Rossius
Justine Rossius Journaliste

Le long-métrage “Call Me By Your Name” relate la romance entre un jeune adolescent italien et un chercheur américain. Une ode aux frissons des premiers amours qui n’a pas été oscarisée pour rien…


 

Ce long-métrage narre la rencontre entre Elio, le fils du professeur Perlman, avec Oliver, un jeune chercheur américain, invite dans la villa de son directeur de thèse. Très vite, le désir apparaît entre l’adolescent et le doctorant. D’abord hésitant, jusqu’à devenir brûlant.

 

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Parce que ça donne envie d’être amoureux


Regarder Call Me By Your Name, c’est se replonger dans les frissons des premiers jours d’une romance. Ces instants où un simple frôlement d’orteils enchante nos rêves des nuits durant et suffit à nourrir nos fantasmes. Où un regard détient le pouvoir de couper le souffle. Ces moments où les sentiments semblent exponentiels. Call me by your name réussit la prouesse de capture une amourette de vacances, une love story impossible, dans son état brut et insouciant.

 

Pour partir en vacances


Si vous voulez avoir la douce impression de rentrer de deux semaines de vacances, allongez-vous dans votre canapé devant Call me by your name. C’est comme si les rayons du soleil traversaient l’écran pour nous recharger en vitamine D. Sauf qu’en vrai, on est toujours sous la pluie noir-jaune-rouge et qu’on rêve de vivre la dolce vita, lors d’un été interminable…

 

Parce que les acteurs sont aussi hot que le soleil italien


Impossible de regarder Call me by your name sans s’extasier de la beauté des deux acteurs : Armie Hammer, dans le rôle d’Oliver et Timothée Chalamet, dans celui d’Elio. Comment rester de marbre devant le regard pénétrant d’Elio et le corps d’Apollon d’Oliver, mais aussi devant leurs jeux d’acteur (est-ce qu’on parle de la dernière scène, devant le feu?!). Les deux hommes brillent par leur interprétation d’une justesse incroyable.

 

Pour l’esthétique digne d’un Monet


Chaque plan du film semble être pensé comme un tableau… Le réalisateur, Luca Guadagnino, a préféré le 35 mm au numérique, pour apporter cette touche solaire à chaque image. D’ailleurs, sur son compte Instagram, une jeune créatrice originaire des Philippines s’est attelé à remplacer les arrière-plans des scènes majeures du film par des tableaux impressionnistes du peintre Claude Monet. Une manière de souligner l’esthétisme de ce chef-d’œuvre.

 

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Pour la BO magnifique


La BO du long-métrage est composée de 17 titres, dont deux chansons originales signées de Sufjan Stevens: “Mystery of Love” et “Visions of Gideon”. Soyez prête à virevolter dans un tourbillon de nostalgie et de romantisme.

 

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