Cette actrice de Love Actually considère le film comme ““une horreur”” et le taxe de ringard
Certains films sont inscrits depuis toujours sur notre liste de classiques à voir et revoir en boucle sans jamais s’en lasser. C’est le cas de Love Actually, particulièrement apprécié à l’aube de Noël, sous un plaid, mug de chocolat chaud à la main. Si il nous fait toujours le même effet appréciable, il semblerait que tous ne soient pas du même avis, à commencer par l’une des actrices du film pour qui ce dernier n’est autre qu'”une horreur”.
Sorti en 2003, Love Actually ne nous semblait pas avoir pris une seule ride. Et pourtant, à la lecture des propos de Lulu Popplewell, qui incarnait la fille d’Emma Thompson, on doit le reconnaître: certains propos ne sont plus appropriés pour notre époque. Pour elle, le film signé Richard Curtis n’est autre qu’une “merde”. Rien que ça, oui.
Une mauvaise image de la femme
Lorsqu’elle a tourné dans Love Actually, Lulu Popplewell n’était qu’une enfant. Aujourd’hui âgée de 29 ans, l’interprète de Daisy – la petite déguisée en homard lors du spectacle, vous voyez? – s’est confiée dans le podcast Almost Famous. “Je trouve que ça a très mal vieilli, a-t-elle expliqué. Toutes les femmes sont des sortes d’objets un peu passifs, explique-t-elle.
Je crois qu’il y a des articles qui les décrivent comme des objets à acquérir. Et si vous le regardez de nos jours, ce n’est vraiment pas génial. Il faut se souvenir que Richard Curtis l’a écrit dans le contexte de cette époque. Par contre, je ne sais pas comment il excuse ses projets les plus récents.”
Des propos qui ne laissent aucune once de doute sur l’image qu’a laissé Love Actually dans la tête de l’actrice. En effet, pour elle, il n’y a pas de doute, elle a joué dans l’un des projets les plus “ringards” du siècle. “Je ne regrette absolument pas, a-t-elle tout de même nuancé. Pour parler de manière un peu soft, je trouve que c’est un film merdique. Mais je suis contente que les gens aiment ça.” D’ailleurs, Love Actually est apparu comme l’une de ses seules expériences cinématographiques, Lulu Popplewell ayant préféré poursuivre sa vie dans le monde du standing.
Et nous, il n’y a rien à faire, mais Love Actually, ça reste quand même l’un de nos favoris!
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