Lily James, c’est la nana canon, qu’on envie un peu toutes, pour qui tout semble “easy”. D’abord Cendrillon pour Disney, elle campe une serveuse de diner américain dans “Baby Driver”.
Si l’on devait parier gros sur une actrice, on mettrait tout notre argent sur Lily James. La carrière de cette belle comédienne britannique, qui a réussi à gommer complètement son accent “british” pour les besoins de ce thriller américain, prend un tout nouveau tournant. Après “Baby Driver”, elle sera, en 2018, à l’affiche de deux autres productions très attendues: “Mamma Mia” et l’adaptation au ciné du “Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates”.
Ici, elle forme un duo plutôt réussi, mais aussi inattendu, avec Ansel Elgort. Si son nom ne vous dit rien, sa baby face vous rappellera sans doute quelque chose! Ansel Elgort, c’est la star de “Nos étoiles contraires”, de “La face cachée de Margo” ou encore de la saga “Divergente”. Des films qu’on a toutes dévorées, la larme à l’oeil, avec un gros pot de glace vanille!
Riche en décibels
Dans “Baby Driver”, son personnage est aux antipodes de tous les autres rôles qu’il a pu jouer. C’est un gamin très calme, atteint d’acouphènes qu’il essaye d’atténuer en se vissant un casque, musique à fond, sur les oreilles. A l’instar de Ryan Gosling, dans “Drive”, il conduit des braqueurs sur le lieu de leurs crimes. Un job qu’il effectue, un peu à contre coeur, pour avoir assez d’argent que pour entretenir son grand-père. C’est sa rencontre avec la jolie Debora, campée par Lily James, qui va lui donner envie de se reconvertir pour vivre une petite histoire d’amour paisible! Bref, “Baby Driver”, c’est le coup de coeur ciné de la rédac’. Outre ce duo magique, on adhère à l’humour du film, à ses dialogues percutants et à sa bande-originale.
Ceci pourrait aussi vous intéresser:
