Apparemment, on a toujours mangé le chocolat de la mauvaise manière
À ce stade de 2020, plus rien ne nous étonne, mais quand même, quand on a appris au hasard d’une interview de la chocologue britannique Jennifer Earle qu’on avait toujours mangé le chocolat de la mauvaise manière, on a avalé de travers. Et pourtant...
Première mauvaise nouvelle, pour les becs sucrés pour qui aucun repas n’est complet sans un petit bout (ou plusieurs) de chocolat en dessert: pour avoir la meilleure expérience possible, et savourer pleinement la complexité du chocolat que vous allez déguster, idéalement, il ne faudrait rien boire ni manger dans les 20 minutes qui précèdent la rencontre entre votre bouche et la tablette. Autre règle édictée par Jennifer, qui mène notamment des visites guidées sur le thème “chocolate ectasy” au royaume de Sa Majesté? Surtout, ne pas mordre, mais bien suçoter, pour libérer toutes les saveurs, ce qui procure un goût différent en début, milieu et fin de bouchée. Et quelques regards amusés dans l’assemblée, à ne pas en douter.
Le chocolat à l’apéro
Et si pour la plupart de ses inconditionnel.le.s, le chocolat est un câlin sucré qui se mange en dessert ou à l’heure du goûter, Jennifer suggère pour sa part de le servir à l’apéro, sur des petits toasts ou en accompagnement d’un plateau de fromages. Une astuce à tester lors des fêtes de fin d’année, pour s’assurer que Tonton Roger soit tellement scotché qu’il garde ses théories du complot sur le port du masque pour lui. Bon appétit.
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