Mode d’emploi de la sieste idéale
Vous vous sentez molassonne après le repas de midi? Normal. L’être humain serait programmé génétiquement pour avoir tendance à s’endormir vers 14, 15 h. Alors pourquoi lutter contre la nature? Si vous êtes en vacances, profitez-en pour développer l’art de la sieste. Si vous êtes au boulot, imprimez cet article et glissez-le dans la boîte à suggestions.
Plus créative, plus maligne
La sieste permet de se regénérer. D’être plus créatif·ve, d’assimiler plus facilement de nouvelles informations… C’est bien simple, elle augmenterait nos performances intellectuelles de 20 %.
Court = mieux
Il y a deux types de siestes. La “micro-sieste” (20 minutes) et la “maxi-sieste” (90 minutes). C’est la première qu’il faut privilégier.
- Les scientifiques sont unanimes: la micro-sieste permet en très peu de temps d’améliorer nos fonctions cognitives, sans avoir la sensation d’être fatigué·e au réveil.
- La maxi-sieste, elle, nous fait réaliser un cycle de sommeil complet: sommeil léger, profond et paradoxal (c’est lors de ce dernier qu’on rêve). Ici, le réveil risque d’être plus difficile et ce long sommeil pourrait nous empêcher de nous endormir le soir!
Une courte sieste est donc indiquée. Et si piquer un roupillon au bureau relève encore du fantasme en Belgique, certaines sociétés américaines autorisent la sieste depuis longtemps. Bon, à quand un hamac dans l’open space?
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