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11 situations que connaissent tout ceux qui souffrent de claustrophobie

Manon de Meersman

Palpitations, souffle coupé, bouffées de chaleur, sensations d’étouffement, vertiges... La claustrophobie est la peur panique d’être enfermé. Rien qu’imaginer se retrouver coincé dans un ascenseur peut donner de véritables sueurs froides à la personne qui en souffre. Une phobie qui peut empêcher de vivre certaines situations de manière... rationnelle.

11 situations que connaissent tout ceux qui souffrent de claustrophobie

Vous appréhendez les pauses pipi dans l’avion


Alors déjà, un avion, ce n’est pas bien grand, mais alors les toilettes de celui-ci, n’en parlons même pas. Surtout que l’utilisation du verrou, faisant switcher l’état d’occupation de la toilette, est obligatoire, sans même qu’on y ait notre mot à dire. Et les claustrophobes dans tout ça, hein? Bref, aller aux toilettes dans les avions lorsque vous êtes claustro’, ça revient carrément à dormir avec une araignée à côté de son lit quand on est arachnophobe.

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Vous évitez au maximum l’utilisation des verrous


Justement, les verrous, parlons-en. En tant que claustrophobe, vous avez certainement déjà du vivre au moins une fois ce moment gênant: vous êtes au resto’ et une envie pressante vous prend. Vous vous rendez donc tout naturellement aux toilettes. Mais à votre grand dam, il n’y a d’ouverture ni au-dessus, ni en-dessous de la porte, permettant éventuellement de signaler votre présence derrière la porte. La question du verrou ne se pose pas – fermer le verrou? JAMAIS! – et vous priez simplement pour que personne n’ouvre la porte... Ce qui, évidemment, arrive une fois sur deux.

Ps: ce moment est encore plus gênant lorsque vous portez une combi’, si vous voyez ce qu’on veut dire. 

Vous préférez mille fois les escaliers à l’ascenseur


Les ascenseurs? Très peu pour vous. Vos cuisses en béton, vous les devez non pas à vos séances sportives à la salle ou à la maison, mais bien à votre claustrophobie. Eh oui, après toutes ces années à monter des milliers de marches, vos mollets vous remercient pour le travail acharné et l’endurance acquise. Les seules exceptions vont à ces ascenseurs que vous connaissez par coeur (et qui sont spacieux de préférence) et à ceux des hôtels lorsque votre chambre se trouve au 12ème étage.

Vous vous demandez comment survivent les spéléologues


Vous avez beaucoup de mal à imaginer comment des personnes peuvent prendre du plaisir à se retrouver six pieds sous terre, dans le noir, sans aucune lumière, et dans un espace aussi étroit qu’un studio à Paris. Pour vous, hors de question de vous aventurer dans une quelconque visite souterraine.

Vous êtes incapables de regarder les films comme “Burnt”


Votre pire cauchemar est de vous retrouver enterré vivant? Rassurez-vous, c’est le summum de l’angoisse pour la plupart des claustrophobes. C’est pourquoi regarder des films comme “Burnt”, ce mec qui se retrouve dans un cercueil vivant sous la terre, ou encore “Catacombes”, ces jeunes qui s’aventurent dans les sous-sols de Paris, ça relève littéralement de la mission impossible.

Vous avez à tout prix besoin de fenêtres PARTOUT dans votre appartement


La lumière, c’est votre came. Sans fenêtres, pas de lumière. Et qui dit pas de lumière dit obscurité. Et qui dit obscurité, dit enfermement. Et qui dit enfermement, dit forcément claustrophobie. CQFD.

Vous avez du mal à rester zen dans le métro


Vous préférez mille fois emprunter le bus ou le tram qui reste en surface plutôt que de prendre le métro. Sauf que parfois, vous n’avez pas le choix. Et à ce moment-là, vous vous efforcez de penser à autre chose, vos écouteurs enfoncés dans vos oreilles. Sauf lorsque le métro reste calé plus de deux minutes. Là, c’est la cata.

Vous vérifiez toujours où se trouve la porte de sortie dans des salles fermées


Que ce soit au cinéma ou lors d’un concert, vous vérifiez directement et instinctivement où se situent les portes de secours. “Parce qu’on ne sait jamais”.

Vous paniquez totalement lorsque vous restez coincé dans un vêtement


Plus que la peur de rester enfermé dans un lieu, la claustrophobie peut également se traduire par la peur d’être coincé... dans un vêtement. Comme ce moment où vous essayez une robe dans une cabine et que vous restez coincé au niveau de la tête ou des épaules. Ou bien lorsque vous essayez une bague et que celle-ci ne veut pas s’enlever.

Vous priez pour ne jamais passer par la case IRM


Les tunnels sont un supplice. Lorsque vous empruntez l’un d’eux, vous ne pouvez vous empêcher d’imaginer ce qui se passerait si la sortie était bouchée. Alors forcément, si vous êtes vous-même directement dans le tunnel, ça risque de mal se passer. Alors toute votre vie, vous croisez les doigts pour ne jamais avoir à passer d’IRM.

Vous développez des peurs connexes à la claustrophobie


Onzième situation et non des moindres: comme si la claustrophobie à elle seule ne suffisait pas, vous développez d’autres peurs similaires, comme l’agoraphobie, à savoir la peur de la foule, ou encore la peur des profondeurs, que ce soit dans une mer ou un océan. Paye ta claustrophobie, quoi!

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