8 pièges à déjouer quand on arrête de manger de la viande
Vous avez vu la vidéo atroce de trop, ou croisé le regard innocent et tendre d’une vache en promenade, et ça y est, vous avez décidé d’arrêter de manger de la viande. C’est bien. Mais saurez-vous déjouer les 8 pièges infernaux qui vous attendent?
1) Les remarques insupportables
Vous n’avez même pas eu le temps de faire votre annonce officielle que déjà, les gros lourds ont flairé le terrain tels des requins et vous encerclent avec leurs blagues pourries. “Et la souffrance de la carotte qu’on sort de terre, tu y as pensé hein MDR?”. Morte de rire, en effet. Même si, ça vaut mieux que tous les “gentils” qui vous demandent “avec inquiétude” si vous y avez bien réfléchi, parce que quand même, TOUS les végétariens qu’ils connaissent ont des carences.
2) Les repas familiaux
“Ben tu manges pas? Oui je sais que tu as arrêté la viande mais ça c’est du poulet rôti! Ton plat préféré! Tu l’aimes plus... Tu ne m’aimes plus?”
3) Les substituts trop beaux pour être vrais
Vous savez ce qui goûte le bacon fraîchement grillé? Du bacon fraîchement grillé. Et pas des tranches de tofu “façon bacon”, qui elles, goûtent juste la tristesse.
4) Les carences
Loin de nous l’idée de donner raison aux rageux, mais la menace est réelle pour qui décide d’arrêter la viande n’importe comment et ne se renseigne pas sur les aliments riches en fer et autres nutriments au préalable.
5) Les excès
Les végétariens mangent forcément des salades H24 et ont le corps délicat qui va avec? Lolilol. Pâtes au fromage? Pas de viande. Chips? Non plus. Sucreries? Tant qu’elles sont garanties sans gélatine de porc, vous pouvez en manger tant que vous voulez. Et ressembler vous même à un joli petit porcelet. Certes, ça s’appelle “régime végétarien”, mais ça ne veut pas dire que vous êtes au régime pour autant.
6) La culpabilité
Gare à la spirale de visionnage de vidéos horribles filmées dans des abattoirs et à la culpabilité étouffante en mode “ohlala j’aurais dû arrêter de manger de la viande depuis tellement longtemps”. Vous l’avez fait maintenant, et les petits agneaux qui veulent gambader gaiement dans l’herbe plutôt que finir dans une assiette vous remercient.
7) Les fins de soirée
Ivre de bonheur (et de cocktails), il est facile de se dire que “juste une petite fricadelle pour tapisser l’estomac” ne compte pas. Et de passer le lendemain à gérer une gueule de bois et la honte d’avoir craqué pour de la viande, de mauvaise qualité qui plus est.
8) La supériorité
Rappelez-vous, il n’y a pas si longtemps encore, ils vous exaspéraient. Allez, répétez après nous: “non, je ne serai pas cette personne insupportable qui juge le contenu de l’assiette des autres et qui affirme à qui veut l’entendre à quel point mon alimentation est vertueuse”.
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