#ARRÊTE c’est de la violence: 4 vidéos poignantes illustrant les violences conjugales
Une fille sur dix subit des violences sexuelles dans sa relation amoureuse. A travers une web-série de 4 épisodes, la nouvelle campagne belge #ARRÊTE c’est de la violence veut lutter contre cette réalité préoccupante.
“Tu danses, tu me chauffes et puis rien?”
Après une soirée un peu alcoolisée, un mec propose de te raccompagner chez toi. Une fois dans ton appart’, tu le remercies et tu lui demandes de partir. Lui, il veut plus et te force” Cette scène qui décrit un viol est illustrée dans le premier spot de la campagne #ARRÊTE c’est la violence. Trois autres épisodes décrivant d’autres scènes de violence ou de cyberviolence suivront dans le cadre de cette campagne lancée à l’initiative des Ministres compétentes des entités fédérées francophones; Isabelle Simonis, Alda Greoli et Céline Fremault.
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Le but de #ARRÊTE c’est de la violence?
Permettre aux jeunes – auteurs ou victimes – de reconnaître les actes de violence et de cyberviolence sexuelles dans leur couple mais aussi d’identifier ce qu’est le revenge porn par exemple. Des situations qui sont loin d’être exceptionnelles chez les jeunes. Une fille sur 10 subit des violences sexuelles dans sa relation, 17% des jeunes de 12 à 21 ans déclarent être victimes de cyberviolence sexuelle selon les premiers résultats d’une étude sur les violences dans les couples de jeunes.
Outre informer, #ARRÊTE c’est de la violence veut permettre aux victimes de se faire aider. “Une victime n’est jamais coupable. Il n’y a que l’agresseur qui est coupable.” Mais ce n’est pas pour autant que ceux qui souffrent de violence osent demander de l’aide. Au contraire, ressentant un sentiment de honte, ils ne s’entourent généralement pas et pensent qu’ils pourront oublier. Ce n’est souvent malheureusement pas le cas! En plus du numéro gratuit 0800/30.030, le “chat” pour parler et poser des questions sera désormais ouvert 8 heures par semaine.
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