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L’UNESCO invite les femmes à imaginer le monde post-COVID-19

Kathleen Wuyard

Les femmes sont l’avenir de l’humanité, ce n’est plus à prouver, et l’UNESCO appuie encore un peu cette certitude en demandant à certaines d’entre elles d’imaginer le monde d’après, quand la pandémie de COVID-19 ne sera plus qu’un mauvais souvenir. Une initiative inspirée à découvrir sous forme de vidéos inspirantes.


De la Norvège au Danemark en passant par l’Allemagne, la Finlande ou encore la Nouvelle-Zélande, le constat est sans appel: les pays gouvernés par des femmes, si pas immuns à la crise du Coronavirus, semblent en tout cas bien mieux s’en tirer que leurs voisins. De là à affirmer que les femmes incarnent l’espoir d’une reconstruction harmonieuse post-pandémie, il n’y a qu’un pas que l’UNESCO n’a pas hésité à franchir, pour notre plus grand plaisir. L’organisme des Nations Unies a en effet décidé de demander à des penseuses renommées, spécialistes de domaines allant de la climatologie aux relations internationales en passant par la physique ou les études africaines, d’exprimer leur vision des défis, mais aussi et surtout des opportunités à venir après la crise.

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Imaginer le monde à venir


Des entretiens diffusés sous forme de vidéos, qui offrent un point de vue féminin aux grandes questions actuelles concernant l’environnement, l’éducation, et les relations internationales. Parmi les premières penseuses interviewées, on retrouve ainsi la climatologue canadienne Katherine Hayhoe, la politologue libanaise Fadia Kiwan et la physicienne brésilienne Márcia Barbosa, entre autres interlocutrices inspirantes. Pourquoi des femmes uniquement?

L’UNESCO a choisi de mettre l’accent sur des points de vue féminins dans ces premières interventions, alors que dans de trop nombreux pays les réflexions concernant les sujets brûlants demeurent dominées trop souvent par des voix masculines” explique-t-on du côté de l’organisation.”


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Objectif avoué: contribuer à une pensée stratégique inclusive. Mais aussi l’espoir “que cette initiative inspirera les décideurs politiques nationaux et apportera une contribution positive à la gouvernance mondiale”. À bons entendeurs...

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