Starbucks souhaite améliorer sa consommation d’eau et sa gestion des déchets
Starbucks travaillait déjà sur le problème de recyclage de ses gobelets, notamment en incitant ses clients à amener leur propre contenant pour emporter leurs boissons favorites. En cherchant à produire du café écologique, la société doit également faire attention à sa consommation d’eau et à réduire, de facto, son empreinte écologique.
Des objectifs précis
D’ici 2030, la firme souhaite réduire de 50% les émissions de carbone de ses activités et de sa chaîne d’approvisionnement ainsi que que les déchets qui sont envoyés à la décharge par ses magasins et ses entrepôts. De plus, pour parvenir à cet objectif, Starbucks souhaite passer du lait animal au lait végétal, en proposant davantage de boissons à base de plantes; les produits laitiers détenant 21% de l’empreinte carbone de la société en 2018.
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En plus de ça, Starbucks aimerait davantage s’investir dans des pratiques agricoles durables. “Il est difficile d’ignorer les effets du changement climatique : pour nos producteurs de café, il entraîne une érosion des terres cultivables, une modification des périodes de récolte, des attaques de parasites inattendues ou encore la rouille du café”, explique Starbucks.
Ces effets ont des conséquences bien réelles sur leurs exploitations, leurs communautés, leurs ressources. C’est pourquoi nous sommes membres fondateurs de Business for Innovative Climate and Energy Policy (BICEP), et travaillons avec Conservation International pour intégrer des éléments agricoles climatocompatibles à nos pratiques Coffee and Farmer Equity (C.A.F.E.).
poursuit la chaîne de café. Bien sûr, la société a conscience que ces objectifs ne seront pas simples à atteindre, mais elle semble bien partie pour s’investir dans cette nouvelle approche puisque 2020 signe pour Starbucks la fin des pailles en plastique. Pas à pas...
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