5 conseils pour bien choisir son soutien-gorge
Fini les soutifs deux tailles trop petites, qu’on achète malgré tout parce qu’ils sont mignons. Exit les tailles de modèles qu’on adopte en jouant à pierre-papier-ciseaux. Et goodbye les versions de nos 12 ans, qu’on ressort par nostalgie. Bonne résolution de l’année: on soigne nos seins, en se transformant en bombe par la même occasion.
À vos mètres
C’est LE truc lourd. L’étape qui nous demande du boulot et qui ne finit ni par un truc drôle ni par un bonbon en récompense. Mais elle est indispensable. Qui dit lingerie dit maintien et confort. Et pour cela, il nous faut prendre nos mesures. Alors pour vous simplifier un peu la tâche, voici deux super anti-sèches:
Ne zappez pas l’essayage
Allez hop, en cabine! On arrête de se dire que s’il va à notre meilleure pote (qui elle a le courage de l’essayer), il nous conviendra forcément. Et on n’achète pas à l’aveugle pour cause de flemme. Enfiler le soutien-gorge est le test ultime. Celui qui au premier coup d’œil nous rappellera que non, on n’a pas la poitrine de Pamela Anderson, ou que les seins qui s’échappent quand on se penche pour ramasser un bic, ce n’est pas le must de la journée de boulot.
Regardez-vous dans les yeux
Trois questions essentielles se posent: dans quelle circonstance va-t-il me servir? Sous quoi vais-je le porter? À quoi ressemble ma silhouette?
Inutile de mettre un soutif pigeonnant pour faire du sport. Pour courir ou sauter, il vous faut un modèle adapté, avec armatures et bien soutenant. Par contre pour un décolleté, mieux vaut éviter les brassières. La couleur du dessus est aussi à prendre en compte: soutien-gorge chaire pour un effet invisible sous du clair, teinte foncée sous un top ou une robe sombre. Et enfin arrêter de rêver d’une autre poitrine et sublimer la sienne. Des petits seins favorisent un push-up là où les voluptueuses n’y ont pas d’intérêt.
N’hésitez pas à rompre
La durée de vie conseillée d’un soutien-gorge est de huit mois. Et encore, pas en le portant tous les jours. Il est impératif de laisser sa lingerie récupérer et retrouver son élasticité. Pour cela on alterne, avec au minimum 24h de break entre chaque emploi.
Craquez pour du bon
On ne le nie pas: la lingerie demande un budget. Surtout si on adopte de la qualité. Mais comme on soigne nos cheveux ou on hydrate notre peau, veiller sur sa poitrine est essentiel et médical. Pour qu’elle conserve un joli galbe et qu’elle reste ferme, mais aussi pour éviter des maux de dos ou de tête. Alors on investit, en fonction de nos moyens, mais en essayant de prendre le meilleur. Et on bichonne ses achats, en les lavant délicatement et de préférence à la main.
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