Le père de Britney Spears dézingue les ““conspirationnistes”” qui veulent la libérer
Alors que des hordes de fans se passionnent pour la tutelle imposée à Britney Spears et réclament #FreeBritney à grands cris virtuels sur les réseaux sociaux, le père de la chanteuse, sous l’autorité duquel elle a été placée il y a douze ans, était resté relativement silencieux. Jusqu’à aujourd’hui, et sa rebuffade véhémente des “conspirations” autour de sa fille.
Il y a treize ans, Britney Spears a eu un breakdown tellement monumental (et public) qu’aujourd’hui encore, fans et adeptes de la meme culture ne manquent pas d’affirmer avec dérision que “si Britney à survécu à 2007, aucun problème n’est insurmontable”. Peut-être, mais si le crâne rasé de la chanteuse a depuis longtemps fait place à une nouvelle cascade de boucles blondes, la tutelle qui lui a été imposée à l’époque n’a, elle, toujours pas été levée, ce que décrient ses fidèles. Qui voient dans les publications récentes de la chanteuse autant d’appels à l’aide: après tout, Brit-Brit n’a-t-elle pas spécifiquement porté un haut jaune auquel elle a fait référence dans un post Instagram, alors même que des fans inquiets lui avaient intimé de poster du jaune dans sa prochaine photo si elle avait besoin d’aide? Il n’en fallait pas plus pour que la machine médiatique s’emballe, la controverse offrant un répit bienvenu en ce temps où un virus aussi mortel que microscopique domine l’actualité depuis au moins deux saisons. Autant dire, une éternité, métaphoriquement aussi longue que la tutelle de Britney dont les fans réclament la fin, sauf que Jamie Spears, lui, ne l’entend pas de cette oreille.
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“C’est privé”
Dans un message adressé aux “conspirationnistes qui ne savent rien”, le père de la chanteuse, qui contrôle notamment ses finances depuis douze ans, a tenu à remettre l’église au milieu du village. “Je dois rendre compte au tribunal de chaque centime que je dépense chaque année. Comment diable pourrais-je voler quoi que ce soit ? J’aime ma fille. J’aime tous mes enfants. Mais ce sont nos affaires, c’est privé”.
Le monde n’a aucune idée de ce qui se passe. C’est à la justice californienne de décider ce qu’il y a de mieux pour ma fille, et à personne d’autre”.
Quelques jours auparavant, Bryan Spears s’était lui aussi confié lors d’un enregistrement du podcast “As not seen on TV” le 23 juillet dernier, affirmant que sa soeur a “toujours tenté d’échapper à cette tutelle” et que c’est extrêmement frustrant pour sa cadette d’avoir “toujours quelqu’un qui lui dit quoi faire”. Même si “la tutelle a été une excellente chose pour notre famille, à ce stade, et nous continuons d’espérer le meilleur ” et que selon lui, une libération totale de la tutelle ne serait pas forcément envisageable, ou du moins, pas sans passer par une période d’ajustement. Britney, elle, garde son silence, alors que la justice californienne est appelée à trancher sur le sujet le 19 août prochain. Et enfin assurer que la chanteuse ne soit plus “Overprotected”? Affaire à suivre.
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