Le légume à éviter si vous voulez vivre le plus longtemps possible
Dans son nouveau livre, qui s’intéresse au processus de vieillissement inversé des méduses, le scientifique danois Niklas Brendborg partage les secrets de longévité à tirer de la nature. À commencer par un changement à adopter dans notre alimentation...
Pour déterminer si une version de la célèbre fontaine de Jouvence existait, le biologiste danois s’est penché sur le cas des Turritopsis, soit une variété de méduses à peine plus grandes qu’un ongle humain, mais dont la petite taille cache une propriété incroyable. En effet, plutôt que de vieillir puis mourir, ces méduses... Vieillissent à l’envers en cas de stress et peuvent se régénérer sans avoir le moindre souvenir physique ou mental d’avoir été plus vieilles un jour. “C’est un peu comme si, après un évènement traumatique, vous décidiez de redevenir un enfant de 2-3 ans et de tout recommencer” explique Niklas Brendborg.
Qui part de ce postulat pour souligner le fait que diverses espèces ont déjà trouvé des méthodes pour inverser le vieillissement, et que les humains peuvent s’en inspirer pour faire pareil. Ou tout du moins, “vivre jusqu’à 200 ans”. Et si ce n’est pas encore pour maintenant, le Danois distille tout de même une série de conseils pour vivre le plus longtemps possible, à commencer par un légume à manger en quantité modérée.
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Ainsi que le souligne le scientifique, pour avoir une santé (et une longévité) optimales, tout, qu’il s’agisse de faire du sport ou du contenu de vos assiettes, est une question d’équilibre. Par exemple, lorsque vous allez courir, vous “faites du mal” à votre corps en lui causant un stress important... Mais du coup, par réaction, le processus de régénération fonctionne vitesse turbo la nuit qui suit.
Et niveau régime alimentaire, contrairement aux idées reçues, Niklas Brendborg assure que les légumes verts type chou, chou kale, brocoli et autres sont loin d’être aussi excellents pour la santé qu’on ne pourrait le penser. En cause, des “poisons” contenus par leurs feuilles pour empêcher les animaux de les dévorer et de nuire à leur espèce. Ceux-là même qui expliquent l’odeur qui vous faisait haïr le broccoli quand vous étiez petit·e, et qui implique que pour limiter la prolifération de radicaux libres dans votre corps, vous ne devriez pas en manger trop souvent.
NB: si dès la lecture de cet article, vous l’envoyez à vos parents en les accusant d’avoir passé toute votre enfance à tenter de vous empoisonner, on ne vous juge pas. D’ailleurs, on fait pareil de ce pas.
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