Cette question permet de savoir si on est vraiment heureux
La fin d’année approche et pour certains·es c’est le moment de faire le bilan sur leurs objectifs de vie et surtout leur niveau de satisfaction face à leur quotidien. Un professeur d’Harvard a dévoilé la question-clé à se poser pour savoir si l’on est réellement heureux·se des décisions prises dans notre existence.
Vous avez envie de prendre le temps de vous offrir un moment d’introspection avant d’entamer l’année 2025 ? À l’approche des Fêtes de fin d’année, la période est idéale pour regarder en arrière et réfléchir sur le chemin accompli lors des mois précédents. On peut en profiter pour se féliciter pour les obstacles surmontés et les efforts fournis pour arriver jusqu’ici ou encore relativiser sur les épreuves que l’on est en train de traverser en se disant que l’avenir nous réserve de meilleurs jours. Certains s’adonnent à l’exercice du « vision board », une sorte de grande feuille blanche sur laquelle on écrit, colle, dessine tout ce que l’on espère pour l’année à venir. Mais si vous souhaitez mener votre réflexion à un niveau plus poussé, le média Psychologies a partagé une question à se poser, recommandée par l’enseignant et docteur en psychologie Tal Ben-Shahar, de l’université d’Harvard.
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Une simple question qui peut tout bousculer
L’expert en psychologie propose de se poser une simple question qui permet de remettre en perspective nos objectifs en se libérant de la charge mentale et de l’étiquette imposée par la société. Cette interrogation est la suivante : « Si vous devenez anonyme, que feriez-vous de votre vie ? » Le professeur développe auprès du média spécialisé : « Imaginez que l’on vous jette un sort qui vous rende anonyme. Plus personne ne saura rien de ce que vous faites. Que feriez-vous de votre vie ?” Un cas de figure qui amène à se demander si nos choix seraient les mêmes sans le regard des autres, si certaines choses que l’on s’impose ne changeraient pas si elles ne regardaient plus que nous ? Parfois, le constat est le suivant : on ne changerait rien et cela permet de se conforter dans ses choix. Parfois, cela ouvre un tout autre champ des possibles, une autre vision de la vie qui amène à revoir ses priorités pour privilégier son propre bonheur. Une question à méditer.
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