Gen F

En rejoignant la communauté, vous recevez un accès exclusif à tous nos articles, pourrez partager votre témoignage et…
Les pires pratiques amoureuses sur les applications de rencontre.
© Getty Images

Voici les pires pratiques amoureuses à reconnaître pour éviter les déceptions

Sarah Moran Garcia

Les applications de rencontre sont devenues de merveilleux outils pour trouver l’amour. Mais à chaque médaille son revers, puisqu’elles sont également transformées en terreau fertile pour toutes sortes de pratiques amoureuses malsaines.

“Gaslighting”, “cushioning”, “summer shading”, … Ces termes, vous en avez peut-être déjà entendu parlé. Chez Flair, nous avons déjà écrit plusieurs articles à propos de ces tendances amoureuses malsaines. Des pratiques qui, si vous les repérez, doivent vous mettre la puce à l’oreille et vous inciter à prendre la décision qui s’impose.

Lire aussi : Voici le secret pour matcher à coup sûr sur Tinder

En effet, selon une récente étude de l’application de rencontre Badoo, ce genre de comportement, entre autres choses, peut affecter la confiance des personnes qui en sont victimes. Des pratiques qui impactent, en outre, la confiance à l’égard des applications de rencontres de 28 % des célibataires interrogés, lesquels ont admis avoir arrêté les rendez-vous amoureux après cela.

Les cinq pires pratiques amoureuses

Breadcrumbing

Sur la première marche du podium des pires tendances amoureuses, Badoo cite le “breadcrumbing”. Cette pratique, qui a poussé 38 % des personnes interrogées à ne plus avoir de date, consiste à envoyer des messages et des signaux vagues sans jamais vraiment s’engager dans la relation. En gros, de lancer des “miettes de pain” pour donner de l’espoir à l’autre, sans lui offrir ce qu’elle ou il veut, laissant l’interlocuteur·rice languir pour rien.

Date stacking

La seconde pratique épinglée par cette enquête est le “date stacking”, qui a touché 37 % des personnes interrogées. En anglais, to stack”, signifie “empiler”, et c’est justement ce que fait la personne qui adopte ce comportement, en prévoyant des rendez-vous avec plusieurs personnes, dans un court laps de temps.

Gaslighting

Le “gaslighting”, nous l’évoquions en début d’article, ferme ce peu prestigieux podium. 37 % des répondants ont déjà eu à faire à un·e gaslighteur·euse, ce qui les a convaincus de stopper les rencontres sur les app de dating. Un terme inspiré, par ailleurs, du film “Gaslight” (“Hantise”, en VF) et une pratique qui consiste à faire douter l’autre de sa propre perception, de sa mémoire et de sa propre santé mentale. “Le ‘gaslighting’ renvoie à un processus long de manipulation abusive qui s’apparente au lavage de cerveau. C’est une forme de harcèlement qui vise à introduire du doute chez la victime”, expliquait, en 2021, la psychologue Dana Castro.

Love bombing et ghosting

Dans le top 5, on retrouve également le “love bombing” (36 %), qui consiste à se montrer particulièrement amoureux·euses en inondant l’autre d’affection et de présents afin que cette dernière ou ce dernier devienne dépendant·e amoureusement. Mais aussi le “ghosting” (30 %), qui consiste à mettre fin à une relation sans même prévenir et sans explication.

Lire aussi:

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Nos Partenaires