Victime de body shaming, Selena Gomez a pourtant toujours donné le change, gardant le sourire en toutes circonstances. Mais la réalité est autre. Elle s’est confiée à ce propos dans un épisode de la série documentaire “Dear…” sur Apple TV+.
Victime de nombreuses remarques sur son physique, Selena Gomez a fait face à des critiques très dures à entendre. Et pourtant, même lorsqu’elle pouvait lire sur les réseaux “Elle est vraiment grosse”, elle parvenait à donner le change, répondant aux haters avec humour. C’est notamment ce qu’elle avait fait lorsqu’elle avait été nommée dans la catégorie meilleure actrice dans une série musicale ou comique pour son rôle dans la série « Only Murders in the Building » et qu’elle avait reçu des remarques sur ses rondeurs. “Je suis un peu grosse en ce moment parce que je me suis fait plaisir pendant les vacances… Mais on s’en fiche” avait-elle déclaré.
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Une réalité bien différente
Mais la réalité est bien différente. Si Selena Gomez donne l’impression de ne pas être affectée par ces remarques, elle a pourtant confié qu’elle était incapable d’ignorer tous les commentaires négatifs à son égard. “J’ai menti. J’allais sur Internet, je postais une photo et je disais : “Ça n’a pas d’importance. Je n’accepte pas ce que tu dis” » explique-t-elle, juste avant de confier qu’en réalité, elle “pleurait” dans sa chambre, “parce que personne ne mérite d’entendre ce genre de choses.”
Je postais ces choses en disant que cela ne me dérangeait pas parce que je ne voulais pas que cela dérange d’autres personnes qui vivent la même chose.
a-t-elle expliqué en faisant référence aux personnes “humiliées pour ce à quoi elles ressemblent, ce qu’elles sont, ce qu’elles aiment.” La chanteuse a d’ailleurs ajouté à ce propos: “Je pense que c’est tellement injuste. Je ne pense pas que quiconque mérite cela” a-t-elle confié, évoquant par la même occasion le lupus dont elle souffre depuis 2013. “Mon poids fluctuait constamment parce que je prenais certains médicaments. Et bien sûr, les gens se sont contentés de suivre le mouvement. C’était comme s’ils étaient impatients de trouver un moyen de me rabaisser. On me reprochait d’avoir pris du poids à cause de mon lupus.”
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