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Troubles érection - Getty

1 homme sur 5 souffre de troubles de l’érection

Manon de Meersman

L’été est souvent une période propice à l’épanouissement de sa sexualité. Le corps et l’esprit se libèrent, le soleil et la lumière stimulent l’appétit sexuel en favorisant la production de sérotonine, les vêtements légers dévoilent plus de peau accentuant le désir…

Mais 1 homme sur 5 âgé de 18 ans et plus à travers le monde souffre de troubles érectiles. Pour ceux-là et pour leurs partenaires, l’été peut au contraire être synonyme d’une période plus sombre. Une nouvelle étude commanditée par Eroxon, marque de gel cliniquement prouvé contre les troubles de l’érection, auprès de 1 000 hommes souffrant de troubles de l’érection et leurs partenaires, montre en effet que 50 % des hommes souffrant de ce trouble de la sexualité éprouvent un sentiment d’échec. Plus d’un tiers (36 %) des hommes ayant souffert de ce type de troubles craignent par ailleurs que cela ne se reproduise et 15 % ont tellement peur d’un nouvel épisode qu’ils évitent désormais tout rapport sexuel...

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Un besoin de spontanéité

Au niveau des solutions, des thérapies médicamenteuses, disponibles sur ordonnance, existent, bien entendu. ​ Mais de nombreux hommes souffrant de troubles érectiles ne peuvent pas prendre de médicaments inhibiteurs de la PDE5 (médicaments sur prescription standards) en raison d’autres problèmes de santé ou d’interactions avec des médicaments prescrits. Par ailleurs, malgré leur efficacité, ces médicaments mettent généralement 30 à 60 minutes pour agir, surtout s’ils sont pris avec de la nourriture ou des liquides, ce qui rend la spontanéité sexuelle difficile. La nouvelle étude d’Eroxon atteste d’ailleurs que près de la moitié des hommes souffrant de troubles de l’érection (49 %) à qui l’on a prescrit un traitement ne l’utilisent plus.

Toujours selon l’étude, 97% des répondants, soit la quasi-totalité, ont déclaré que la spontanéité était importante pour leur vie sexuelle. Plus de la moitié (52 %) des hommes allant même jusqu’à renforcer que cette spontanéité était « très » importante pour eux et leur partenaire.

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