À quelle fréquence les Belges font-ils l’amour ?
La marque de jouets intimes Amorelie vient de dévoiler son Sexreport 2023, une étude qui révèle combien de fois les Belges et les Français font l’amour au quotidien, mais aussi quels sont leurs fantasmes.
En amour comme dans beaucoup d’autres domaines, mieux vaut privilégier la qualité à la quantité. C’est ce que confirme le rapport établi par la marque Amorelie en ce début 2023. L’enseigne a mené une enquête auprès de 2000 personnes en France et Belgique sur leurs comportements sexuels. À quelle fréquence font-ils l’amour ? Quels sont leurs fantasmes ? Les réalisent-ils ? Simulent-ils pendant l’amour ? Les participants se sont livrés sur leur intimité.
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Seuls 4 % des personnes interrogées font l’amour tous les jours
Pour ce qui est de la fréquence des relations sexuelles, la tendance varie. La majorité des Belges et des Français font l’amour plusieurs fois par mois, soit 39 % des sondés et 31 % le font plusieurs fois par semaine, tandis que seulement 4 % ont une relation sexuelle chaque jour. À l’inverse, 19 % des personnes interrogées ont un rapport sexuel moins d’une fois par mois et 7 % n’en ont jamais.
Plus d’une personne sur quatre a des désirs sexuels qui ne sont pas exprimés dans la relation
Pour ce qui est des fantasmes, une personne sur cinq parmi les participants à l’étude souhaiterait « plus de variété » dans ses rapports sexuels, une envie d’innover, d’essayer de nouvelles pratiques ou de réaliser certains fantasmes qui seraient difficiles à exprimer à son partenaire. En effet, plus d’une personne sur quatre témoignent de désirs sexuels qui ne sont pas du tout exprimés dans la relation et une personne sur dix ne souhaite carrément pas vivre ses propres fantasmes.
Pourtant, ces derniers sont nombreux chez les Belges et les Français. 24 % des sondés fantasment d’un plan à trois, 19 % rêvent de pratiquer le sexe en groupe, 13 % fantasment de participer à une orgie ou de se rendre dans un club échangiste, 17 % de pratiquer des jeux de rôles, 13 % de s’essayer au bondage et 17 % de tenter le tantra ou sexe lent. Ce dernier étant le fantasme le plus réalisé. Enfin, deux fois plus de femmes que d’hommes ont déjà simulé un orgasme au lit avec 67 % de femmes contre 32 % d’hommes, un chiffre qui pourrait être expliqué par un autre résultat de l’étude : seulement une femme sur quatre atteint l’orgasme par la pénétration lors d’un rapport sexuel. Ce qu’il faut retenir de cette étude est probablement que la communication est le plus important dans un couple afin que chacun·e puisse exprimer ses envies et ses ressentis.
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