Tout le plaisir est pour moi! Quand vous vous glissez seule sous la couette et que vous laissez libre cours à votre imagination, tout est possible… Quatre lectrices ont révélé leur ultime fantasme de masturbation.
Sumi, 31 ans, est célibataire depuis 6 ans
Lieu de masturbation préféré ? Dans le bain ou la douche.
Se déchaîne avec... du vin.
Pendant 31 ans, j’ai vécu – si je peux me permettre – comme une fille ordinaire. Je travaille dans une société d’informatique, j’ai un physique banal et je vis seule dans un petit village tranquille. Rien d’extravagant, à part cette piscine dans mon jardin. C’est une folie que j’ai pu me permettre après avoir hérité d’un oncle décédé. Pendant les travaux, l’été dernier, une idée a commencé à germer dans ma tête. Pendant la canicule, j’ai invité deux collègues à venir se détendre au bord de la piscine. Deux hommes, évidemment, puisque le monde de l’informatique est tout aussi stéréotypé qu’autrefois. Il n’a pas fallu longtemps avant que les blagues coquines et salaces se mettent à pleuvoir. Et quand ils m’ont impliquée, mon esprit a dérivé vers un endroit qui m’a moi-même surprise, voire choquée. ‘ Hé, Sumi! Des mecs aussi chauds au bord de ta piscine, ça t’excite pas? ’ Et si c’était le cas…
Plus mon collègue me pénétrait avec fougue, plus je suçais avec vigueur le pénis de l’autre »
SEXY POOL PARTY
Avez-vous déjà vu le film culte Emmanuelle? Là, au bord de ma piscine, je me suis soudain souvenue de cette scène où elle est à genoux, entourée par des hommes bien bâtis et très excités. Et ce flash-back n’a pas manqué de faire frétiller mon bas de bikini. J’ai souri, fermé les yeux, et prétendu que j’avais froid quand j’ai commencé à imaginer mon fantasme le plus fou. Dans mon esprit, je me suis levée et j’ai défait les noeuds de mon bikini. Le haut et le bas. Je me suis promenée – ou plutôt j’ai paradé – autour de la piscine et je me suis accroupie devant le transat d’un de mes collègues. ‘ Voyons voir si vous êtes vraiment chauds ’, les ai-je défiés. À quatre pattes, j’ai rampé sur la chaise longue et j’ai remué mes fesses avec insolence. Mes seins, libres, se balançaient. En un clin d’oeil, le pénis de mon collègue s’est enflammé et a formé une tente sous son maillot de bain. J’ai laissé ma main glisser sous son short, j’ai attrapé fermement son engin – dur – et je l’ai sorti de là. Penchée en avant, j’ai léché son gland, créant un filet liquide entre ma bouche et son pénis. Loin de rester indifférent à ce spectacle, mon autre collègue gémissait, se tordait sur son propre transat et dirigeait son érection vers nous. Alors que je glissais mes lèvres chaudes et humides sur le pénis de numéro un, numéro deux pressait sa queue toute dure contre mes fesses. J’ai léché mes doigts et je les ai enfoncés doucement dans mon vagin, pour le préparer à la pénétration. Entre mes jambes, j’ai attrapé le pénis du collègue qui se trouvait derrière moi et je l’ai attiré à l’intérieur de moi d’un mouvement ferme. Mes gémissements étaient atténués par le pénis de mon autre collègue, toujours dans ma bouche. Il nous a fallu un certain temps pour trouver le bon tempo tous les trois, mais plus numéro deux me pénétrait avec ardeur, plus je suçais le pénis de l’autre. C’était tellement intense que j’ai laissé, quelques instants, le pénis de numéro un sortir de ma bouche pour bégayer : ‘ C’est ma pool party, vous savez. Il est temps que vous me gâtiez un peu plus ’. Numéro un s’est alors couché sur la chaise longue et a fait glisser deux doigts sur mon clitoris. Pendant que l’un me pénétrait, l’autre caressait farouchement mon clitoris d’avant en arrière. J’avais l’impression que tout mon corps était sur le point d’exploser… Et quand le sperme de numéro deux a giclé contre mes fesses, j’ai joui. »
Violaine, 28 ans, est mariée et enceinte de son premier enfant
Lieu de masturbation préféré ? Confortablement installée dans mon lit.
Se déchaîne avec... de beaux sextoys tout doux.
Des nausées matinales? Non. Des envies étranges? Non plus. Constamment fatiguée? Seulement quand mon patron m’ennuie trop. Mais s’il y a bien une chose que les hormones de grossesse provoquent chez moi, c’est une libido et une excitation décuplées. Pendant toutes ces années, je n’ai jamais eu autant envie de sexe que pendant ces cinq derniers mois de grossesse. Même mon mari ne suit plus la cadence. Aujourd’hui, c’est lui qui soupire : ‘ Sérieusement? Pas ce soir, ma chérie. ’ Alors, je tire mon plan toute seule. Je me glisse sous les draps très tôt le soir. Pas avec une tisane, mais avec deux vibromasseurs: un à l’avant et un à l’arrière, parce que je fantasme sur ma première expérience anale depuis un certain temps déjà. Dans mes rêves érotiques, je monte les escaliers devant lui. Mes fesses se balancent gracieusement de gauche à droite. Je regarde par-dessus mon épaule et tout mon corps se met à frissonner de plaisir tant son regard enthousiaste est communicatif. Comme moi, il est très curieux de savoir ce que ça fait de le faire par derrière.
Lentement, il enfonce son doigt plus profondément entre mes fesses. C’est bizarre, mais surtout incroyablement coquin et excitant »
EN FIN DE COMPTE, L’INTIMITÉ
Une fois dans notre chambre, nous nous déshabillons tous les deux. Je pose nos vêtements sur la chaise pendant qu’il allume des bougies et met un peu de musique. Le flacon d’huile de massage et le lubrifiant sont déjà prêts sur la table de nuit. Je m’allonge dans notre lit, sur le ventre, les bras sous la tête et les jambes légèrement écartées. Lorsqu’il rampe sur moi à quatre pattes, son pénis dur entre déjà en collision avec mes fesses. Une bouffée de chaleur parcourt mon vagin et le fait vibrer d’excitation. Ses mains chaudes caressent mon corps et glissent de plus en plus près de mes fesses. Ça fait du bien quand je le sens enfin les attraper et que ses pouces jouent autour de mon anus. Je chuchote timidement : ‘ Je pense que je suis prête… Mon mari pousse un soupir de soulagement et m’embrasse doucement l’épaule alors qu’il se penche sur moi pour attraper le flacon de lubrifiant sur la table de nuit. Une goutte après l’autre, la substance glacée coule entre mes fesses et un cri strident s’échappe de mes lèvres serrées. ‘ Chut ’, il m’apaise. ‘ Tu dois te détendre. ’ J’inspire et j’expire profondément et me laisse m’enfoncer dans le matelas. D’un doigt, il débute son voyage… Il commence par dessiner des cercles autour de mon rectum. Puis, peu après, il y glisse un doigt. Avec précaution, il le pousse un peu plus profondément, puis le retire et répète ce mouvement. C’est un peu étrange, mais aussi incroyablement coquin et excitant. Plus il me doigte, plus je me détends et plus il est facile pour un deuxième (puis un troisième) doigt de glisser à l’intérieur de moi. ‘ Tu es sûre de vouloir continuer? ’, me demande affectueusement mon mari. Je hoche la tête avec conviction et le regarde par-dessus mon épaule. ‘ Mais fais attention, mon chéri ’, je lui demande. Il couvre son pénis d’une couche épaisse de lubrifiant et laisse le liquide couler entre mes fesses avant de frotter le bout de son gland le long de mon anus à plusieurs reprises. Je suis tellement excitée que j’attire presque naturellement son pénis avec mes fesses. Très lentement et tendrement, il enfonce son sexe entre mes fesses. Ouah ! J’ai l’impression que tout mon corps est envahi. J’en ai la tête qui chavire. Plus son pénis gonfle dans mon anus, plus je gémis fort et plus j’enfonce le bout de mes doigts dans ses cuisses. Je sursaute quand son sperme gicle profondément en moi et je laisse échapper un gémissement assourdissant. ‘ Intime ’ vient de prendre un tout nouveau sens pour moi. »
Winnie, 33 ans, vit avec son compagnon et leur fils de 3 ans
Lieu de masturbation préféré ? J’avais l’habitude de le faire au travail et c’était l’endroit le plus excitant qui soit.
Se déchaîne avec... des films pornos et la trilogie Fifty Shades.
Mon compagnon et moi sommes très ouverts sexuellement. Nous parlons souvent de ce que nous aimons et n’aimons pas et de ce que nous voulons essayer. Dans de nombreux cas, il s’agit de simples fantasmes… Mais l’une des choses auxquelles je rêvais depuis longtemps est récemment devenue réalité. Ça faisait un moment que lui et moi n’avions rien testé de spécial. Nous avions toujours des relations sexuelles quand notre fils était au lit, mais c’était plutôt la routine. Après une de ces soirées intimes, j’ai mentionné que – avec l’assouplissement des mesures de sécurité spécial Coronavirus – nous devrions déposer notre fils chez ses grands-parents pour passer une vraie soirée excitante rien que tous les deux. Je voulais vraiment essayer quelque chose de différent, avec des menottes et un bandeau sur les yeux…
Je ne pouvais pas le voir moi-même, mais l’idée que j’étais attachée au lit, complètement nue, m’excitait terriblement »
MERVEILLEUSE BRUTALITÉ
Et cette soirée spéciale est finalement arrivée. Nous étions ensemble sous la douche, et il m’a demandé d’attendre dans la salle de bains le temps qu’il fasse ‘ quelques préparatifs ’. Je me suis sentie comme une enfant qui joue à cache-cache : excitée et nerveuse. Environ 10 minutes plus tard, il est revenu et m’a emmenée dans la chambre. Le lit était fait et une lumière chaleureuse était allumée. Je n’ai rien remarqué de spécial. Il a détourné mon regard troublé et m’a demandé de m’allonger, les yeux fermés. Une fois en position, j’ai entendu le tiroir de sa table de chevet s’ouvrir et se fermer. ‘ Lève la tête ’, a-t-il murmuré. J’ai obéi et il m’a bandé le visage avec un tissu noir et soyeux. ‘ Maintenant, tourne-toi sur le dos ’, m’a-t-il ordonné, prenant peu à peu un rôle dominant. Je l’ai entendu fouiller dans le tiroir. Ma curiosité n’a été piquée que lorsqu’il a enroulé un foulard tout doux autour de mes poignets. Un tour. Deux tours. Trois tours. Le tissu s’est resserré lorsqu’il a attrapé mes bras d’un coup sec et les a attachés au montant du lit. D’un seul coup, l’adrénaline a coulé dans mes veines et mon coeur a failli sortir de ma poitrine. Je ne pouvais plus voir par moi-même, mais l’idée que j’étais attachée au lit, complètement nue, m’excitait à mort. Avec la même impudence, il a écarté mes jambes en serrant fort mes cuisses. Oh, comme c’était bon d’être traitée si sauvagement. J’aurais pu crier d’excitation. Au lieu de ses doigts, j’ai senti quelque chose de froid et d’humide caresser ma chatte. De là, il a laissé la chose glisser tout au long de mon corps, jusqu’à ce qu’il s’arrête au niveau de mes lèvres. ‘ Ouvre la bouche ’. J’ai hésité un instant, mais j’ai fini par obéir. Le jus d’une fraise sucrée s’est mis à couler autour de ma bouche alors que je mordais dedans. Il l’a léché et j’ai poussé un soupir d’excitation. ‘ Tu en veux plus? ’, m’a-t-il demandé, séducteur. Mes gémissements ont fait office de réponse. Il a fait la même chose avec une tranche de banane, mais à contre sens. Il l’a doucement glissée le long de mes seins et l’a posée sur mon clitoris avant de la manger en une seule bouchée. ‘ Mmmm ’, a-t-il murmuré. ‘ Et cette banane n’était pas mal non plus… ’ Je gloussais, mais mon gloussement a vite été étouffé par sa langue toute chaude sur mes lèvres. C’était encore plus intense du fait que je ne pouvais aller nulle part et que j’avais les yeux bandés. Je me suis tortillée et j’ai tourbillonné de plaisir alors qu’il commençait à me lécher et me caresser partout, faisant vibrer tout mon corps de plaisir. Le foulard autour de mes poignets se détachait progressivement, ne gâchant en rien ma jouissance. J’ai attrapé mon compagnon, j’ai attiré son corps contre le mien et j’ai supplié à son oreille : ‘ Prends-moi s’il te plaît. Prends-moi sauvagement. ’ »
Lisa, 29 ans, est célibataire, mais voit un homme qu’elle a rencontré sur Tinder
Lieu de masturbation préféré ? Au lit, sous la couette.
Se déchaîne avec... une bibliothèque audio d’orgasmes.
D’épaisses gouttes de pluie s’écrasaient bruyamment contre la grande fenêtre du salon. Dans le jardin, les pots et les plantes volaient dans les airs. La tempête Odette était plus violente que je ne l’avais imaginée en me rendant chez mon amie Anne, cette après-midi-là. Résultat ? Je suis restée chez elle, car c’était trop dangereux de reprendre la voiture. Au début, j’avais prévu de dormir sur le canapé, mais comme nous étions toutes les deux un peu anxieuses, nous avons fini par nous mettre au lit ensemble. Plus tard dans la semaine, cette soirée pyjama m’a fait douter de ma sexualité. Je n’étais plus tout à fait sûre d’être 100 % hétéro. Anne a plaisanté en disant qu’elle avait dû retourner ses placards pour trouver un pyjama. ‘ Normalement, je dors nue. Mais j’ai toujours un vieux t-shirt qui traîne quelque part. ’ Je me suis surprise à me demander à quoi elle ressemble sans ses vêtements. Et quand nous nous sommes changées pour passer sous la couette, je n’ai pas pu m’empêcher d’apercevoir sa silhouette. De belles hanches larges, des poignées d’amour et de jolies fesses rondes. Tout le contraire de mon corps filiforme.
Je n’avais jamais vu mon amie de cette façon auparavant… Elle était sexy et voluptueuse »
DOIGTÉ MAGIQUE
‘ Pour que ça soit une vraie soirée pyjama, on devrait se tresser les cheveux avant de se coucher! ’, a-t-elle suggéré. J’ai ri et je me suis dit : ‘ pourquoi pas? ’ Mais pendant qu’elle jouait avec mes cheveux, mes pensées ont pris une tournure insoupçonnée. Dans ma tête, je tressais ses cheveux et caressais ses épaules. Je glissais ensuite mes doigts sous le col de son large t-shirt et m’arrêtais sur ses seins rebondis. Comme chez moi, celui de gauche était un peu plus gros que celui de droite, mais leur toucher était doux et agréable. Ses tétons ont durcis entre mes pouces et mes index, j’adorais les tordre et jouer avec eux. Anne a posé la tête contre mon épaule et a tourné son visage vers moi. Nos lèvres frémissaient, à quelques millimètres l’une de l’autre. Je brûlais d’impatience et la regardais intensément, droit dans les yeux, puis j’ai pressé tendrement ma bouche contre la sienne. Peu de temps après, il n’était plus questions de sagesse : nous nous roulions ensemble sur le lit et commencions à nous embrasser férocement, tout en fouillant le corps de l’autre de nos mains avides. Comme le corps d’une femme est doux. ‘ Je peux aller explorer plus bas? ’ m’a demandé Anne avec défi. Je n’ai rien dit, mais j’ai acquiescé de la tête avec conviction. Serait-ce si différent d’être doigtée par une femme? Dans mes fantasmes oui, en tout cas. Ses doigts étaient comme du velours et me caressaient exactement là où je le voulais; avec un doigt sur les plis extérieurs de mes lèvres, puis autour, mais pas contre mon clitoris. Pas encore, du moins. Ce n’est que lorsque mon vagin brûlait déjà de plaisir qu’elle a déplacé le bout de ses doigts de quelques millimètres pour dessiner des cercles d’abord lents puis plus rapides sur mon clitoris. Jamais auparavant je n’avais été aussi bien doigtée. Et jamais auparavant je n’avais osé me laisser aller comme ça. Les bras et les jambes écartés, je me suis allongée sur le lit en me tordant de plaisir. ‘ Pourrais-je jouir avec elle? ’ était ma pensée la plus pressante. Dans ce monde rêvé, je n’ai pas eu à attendre très longtemps pour obtenir la réponse. Mes orteils se sont recroquevillés, mes fesses se sont resserrées et tout mon corps s’est mis à trembler alors qu’une chaude lueur de plaisir s’est abattue sur moi. Puis j’ai rouvert les yeux. ‘ Fini! ’, s’est exclamée Anne, posant ma tresse sur mon épaule. »
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