
SOUS LA COUETTE: ““Elle déplace sa main sur ma cuisse et commence à jouer avec ma robe””
Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Danielle, 22 ans, raconte son fantasme.
Danielle, 22 ans est célibataire et prête à se lancer dans la vie active.
Elle grimpe au rideau lorsque… « les filles se laissent aller. »
Elle rêve parfois… « de sexe au cinéma. »
Du grand écran blanc de la salle de cinéma obscure, une douce lumière bleue rayonne, illuminant les contours de ma compagne. Ses formes sont belles dans la pénombre. Le film est une comédie romantique d’un ennui phénoménal que je suis à peine. Je n’y arrive plus depuis qu’elle a entrelacé ses doigts autour des miens sur l’accoudoir. Un picotement chaud me parcourt. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle se tourne vers moi et me sourit timidement. Du moins, si j’en crois le scintillement de ses yeux. Elle se penche plus près de moi, jusqu’à ce que ses lèvres touchent presque le lobe de mon oreille, et murmure:
« Ce film est nul. Tu ne crois pas qu’on ferait mieux de faire autre chose? »
Je regarde sa main glisser tout doucement le long de sa propre cuisse, déformant le tissu de son pantalon de costume, et mon cœur se met à battre plus vite. Elle établit un contact visuel. Son regard déborde d’excitation. Je déglutis, mais je laisse aussi ma main quitter l’accoudoir pour la poser avec elle sur son genou. C’est un petit mouvement, à peine visible dans la salle sombre, mais qui déclenche une tempête en moi. Elle déplace maintenant sa main vers ma cuisse et commence à jouer avec le bord de ma robe. « Tu as peur que quelqu’un nous voit? » me demande-t-elle. Je secoue la tête. Je réponds que c’est encore plus excitant, et je ne peux pas m’empêcher d’avoir un petit bruit d’excitation dans la voix. Elle se penche encore plus près de moi et pose ses lèvres contre mon cou.
Mon regard glisse sur les quelques personnes qui nous précèdent dans la salle. Ils ne sont pas nombreux, et la plupart d’entre eux semblent concentrés sur l’écran. Parfait, donc. D’autant qu’entretemps, sa main a remonté un peu et s’est glissée sous le tissu de ma robe. Je sens ses doigts toucher ma peau nue. Je me tourne vers elle et laisse ma main glisser le long de sa cuisse, jusqu’aux boutons de son pantalon.
Elle se mord la lèvre pour réprimer son désir pendant que je défais le pantalon. Sa main a maintenant trouvé le bord de ma culotte et, contrairement à elle, je ne peux réprimer un doux gémissement lorsque ses doigts se glissent sous ma culotte. « Oh, merde », murmure-je à voix basse. Ses doigts caressent avec taquinerie les plis de mon sexe, tandis qu’elle retient mon attention par son regard. « Tu es déjà mouillée », dit-elle, ce qui m’excite encore plus.
Je serre sa cuisse et je glisse ma main plus profondément dans son pantalon.
Avec mes doigts, je peux sentir la tension dans son corps. La pièce autour de nous commence à se brouiller tandis que ses doigts caressent avec rythme mon sexe de haut en bas et que je sens mon corps se rapprocher de plus en plus de la limite. Ma main aussi travaille plus fort maintenant, plus vite et plus férocement. Et plus je m’approche de son clitoris, plus je l’entends haleter. Elle se penche en avant et appuie son front contre mon épaule pour tenter de se calmer. J’en rajoute un peu. Plus son clitoris oscille d’un côté à l’autre le long de mes doigts, plus je sens son corps trembler et plus sa respiration devient lourde. Je pense qu’elle est sur le point de jouir, mais cela ne l’empêche pas de me faire frémir de plaisir. J
e lui mets la langue dans l’oreille et elle me mord l’épaule, ce qui est la goutte d’eau qui fait déborder le vase pour nous 2. Nos corps commencent à trembler ensemble et l’orgasme s’empare de chacune de nous. Nous restons ainsi un moment, nos corps serrés l’un contre l’autre et nos yeux toujours fermés. S’il vous plaît, que personne ne nous voit ou ne nous entende… Heureusement, tout le monde dans la salle semble encore regarder le film. Elle me regarde et sourit: « Peut-être que ce film n’est pas si ennuyeux après tout. » Je glousse et remets ma robe, les joues encore rouges. La prochaine fois, nous devrions peut-être manger quelque chose de sucré tout de suite.
Lire aussi:
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici