SOUS LA COUETTE: ““Il appuie sa langue exactement là où je le souhaite et mon corps tremble de plaisir””
Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Qui sait, ça pourrait vous donner des idées... Cette semaine, Maïté, 24 ans, dévoile son fantasme de faire l’amour avec un des gars de son groupe d’amis.
Maïté, 24 ans est célibataire et se sent bien dans sa peau.
Elle grimpe au rideau lorsqu’… un homme l’excite tellement qu’il la rend furieuse.
Elle rêve parfois… de sexe avec un des gars de son cercle d’amis.
Haletants après avoir monté les escaliers, nous tombons ensemble sur mon lit. La soirée cinéma avec nos amis était super sympa, mais maintenant que tout le monde est parti, sauf lui, nous ne pouvons plus nous contrôler. La tension entre nous est montée tout au long de la soirée. Chaque fois que sa main caressait mon dos ou que son regard s’attardait un peu trop longtemps sur moi, je sentais le désir grandir. Et, quand il m’a murmuré doucement à l’oreille: « Attends qu’on soit seuls », je n’ai pensé qu’à ça et je n’ai pas regardé la suite du film.
Il me tire vers lui et m’embrasse immédiatement. Ses mains glissent sur mes hanches et me pressent contre lui. Je sens qu’il est déjà dur, même à travers nos vêtements, et tout mon corps est en feu. J’ouvre les lèvres. Sa langue commence à jouer avec la mienne et ses mains agrippent mes fesses. Je ne peux m’empêcher de gémir doucement dans sa bouche.
Je le pousse en arrière sur le lit, je monte sur ses genoux et je fais glisser ma robe pour pouvoir enrouler mes jambes autour de lui. Tout aussi follement, il se redresse immédiatement et porte sa bouche à mon cou. Il m’y embrasse, enfonce légèrement ses dents dans ma peau et promène ses mains le long de mes cuisses. Je sens mon corps se remplir d’excitation, encore plus lorsque je sens ses doigts jouer avec ma culotte.
J’enlève sa chemise et je passe mes mains sur son torse et son ventre. Il est chaud et musclé. La réaction de son corps à mes caresses m’excite encore plus que je ne l’étais déjà. Je bouge mes hanches sur lui, lentement et en rythme, sentant son érection grandir. Il ferme les yeux.
« Je m’installe sur lui. Il ferme les yeux. Ses mains serrent fermement mes hanches et il murmure: “ Tu me rends fou ” »
« C’est ça l’idée », dis-je avec défi en approchant ma bouche de son oreille et en lui mordant doucement le lobe. Sa réaction suit immédiatement. D’un seul souffle, il me retourne, me met sous lui et m’enlève ma robe. Maintenant que je ne porte plus que de la lingerie, son regard descend sur mon corps, comme s’il voulait me dévorer.
Ses doigts s’accrochent derrière les bretelles de mon soutien-gorge et les tirent vers le bas. Sa bouche suit. Il passe sa langue sur mes seins et mes mamelons durs comme de la pierre, tandis que ses mains explorent mon dos et mon ventre. J’attrape ses cheveux, je le rapproche de moi et je ne sais plus si c’est mon cœur ou le sien qui bat dans ma poitrine. Il descend. Ses lèvres quittent mes seins et se dirigent vers mon ventre, puis vers le bord de ma culotte.
Il me regarde, l’enlève lentement et laisse à nouveau glisser ses doigts sur mes cuisses. Ma peau semble en feu. Il appuie sa langue exactement là où je le souhaite et mon corps tremble de plaisir. Puis, il laisse ses doigts et sa langue travailler ensemble pour me faire perdre les pédales. Mes jambes tremblent et mon corps entier semble sur le point d’exploser, mais j’en veux tellement plus.
Je le tire vers moi, mes mains s’empressant d’enlever son pantalon et son caleçon.
Son érection est énorme et j’ai hâte de le sentir en moi. J’enroule mes doigts autour de son sexe dur et humide, lui donne quelques caresses vigoureuses et le guide ensuite vers moi. Au moment où je sens sa queue contre moi et où je soupire à haute voix de frustration sexuelle refoulée... nous nous figeons.
« Des préservatifs », dis-je désespérément. Paniquée même. Il me regarde, ses yeux sombres de désir, puis il jure bruyamment: « Putain! Je n’en ai pas sur moi! Et toi? » Je secoue la tête, suivi d’un hurlement sauvage. Sérieusement!
Pendant un moment, nous restons immobiles, lui au-dessus de moi, sa respiration lourde contre mon cou.
Je m’écrie « Merde » après quelques secondes, lorsqu’il s’installe sur le lit à côté de moi avec un grand soupir. Nous sommes là, nus, et en proie à une excitation non partagée.
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