
SOUS LA COUETTE: ““Il m’attrape par les hanches et me retourne brutalement””
Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Margot se confie sur son désir de faire l’amour avec quelqu’un qu’elle ne connait pas du tout.
Margot, 25 ans, est parfaitement heureuse en tant que célibataire.
Elle s’enflamme… pour des rapports sexuels rapides, brutaux et sans retenue.
Elle rêve parfois… de faire l’amour avec quelqu’un qu’elle ne connaît pas du tout.
Je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai eu l’idée ce matin de sortir sans soutien-gorge. Peut-être parce qu’il fait enfin assez chaud pour porter moins de vêtements. Peut-être aussi simplement parce que j’en avais envie. Quoi qu’il en soit, me voilà maintenant sur le quai, un peu trop tôt pour mon train, vêtue d’une chemise fine qui colle à ma peau, avec des tétons qui pointent fièrement.
Il y a un type assis sur un banc jaune vif. Des lunettes de soleil perchées sur sa tête, les jambes écartées, les mains posées nonchalamment sur ses cuisses. Il me regarde fixement. Durant un long moment. Je regarde derrière moi. Sans détourner le regard, il abaisse ses lunettes de soleil sur son nez. Il m’observe sans vergogne. Je sens mes tétons se raidir encore un peu plus. Le train a – bien évidemment – 10 minutes de retard, comme annoncé par les haut-parleurs à côté des voies. Je fais semblant de regarder mon téléphone, mais je sais qu’il continue à me regarder. Je le sens dans tout mon corps. Je ne peux plus garder mes jambes immobiles. Je ramasse mon sac à dos par terre et je marche vers les toilettes au bout du quai.
Mais quand je me retourne, je me rends compte qu’il me suit. Les toilettes sont désertes. Il y a de vieux murs carrelés et un horrible éclairage, mais je m’en fiche. J’ouvre la porte de la plus grande cabine. Il entre une seconde après moi. Derrière nous, la porte se verrouille. Il m’attrape par les hanches et me fait brutalement tourner sur moi-même. Mes seins heurtent la surface de l’évier. Même à travers le tissu fin, je sens un froid glacial. « On ne dit rien, ok? », dit-il durement. J’acquiesce en poussant mes fesses contre son pantalon. Je n’avais pas non plus l’intention de parler. Sa main glisse sous ma jupe et trouve immédiatement le tissu humide de ma culotte. Il la repousse. Aucune hésitation, aucun détour. Juste ses doigts chauds entre mes lèvres, sur mon clitoris, puis à l’intérieur.
Je m’appuie sur mes avant-bras. Ma tête s’incline vers l’avant, alors que j’écarte légèrement mes jambes. « Plus fort », dis-je en chuchotant. Ses doigts se déplacent alors plus rapidement et profondément en moi. Ma respiration s’accélère. De l’autre main, il attrape ma poitrine, la malaxant à travers le tissu fin, puis il pince mes tétons entre son pouce et son index. « Je le savais », murmure-t-il, malgré notre accord. « Tu n’as pas de soutien-gorge. » Je vais presque jouir sous ses doigts, juste à cause de l’excitation qu’il provoque dans mon corps. Mais il s’arrête. Complètement.
Je le regarde avec étonnement par-dessus mon épaule. « Qu’est-ce que tu attends? » Il sort un préservatif de sa poche, ouvre sa braguette et baisse son jeans et son caleçon. Son sexe est épais, dur et luisant d’excitation. Il se guide lui-même vers mon ouverture et pousse lentement son sexe à l’intérieur. Je me mords la lèvre pour ne pas crier. Il me pénètre si profondément, si fermement, d’un seul coup. Il me prend avec un rythme qui me submerge complètement. Ses hanches entrent en collision avec mes fesses, mes joues touchent le miroir au-dessus du lavabo. Sa main attrape mes cheveux et tire ma tête en arrière. Je nous vois dans le miroir. Ma bouche est entrouverte, son regard est fixe. La tension dans sa mâchoire est nette. Chaque coup de reins fait trembler mes seins. Je la sens venir, cette tension qui monte dans mon estomac. Sa main libre glisse vers l’avant pour trouver mon clitoris et le caresse par des mouvements rapides et circulaires. Je me mets à trembler.
Tout mon corps se contracte, je ne peux plus me retenir et j’émets un son rauque que je ne reconnais même pas comme étant le mien. Mes jambes flanchent, mon visage est plaqué contre la vitre et il doit presque me soutenir. Il fait l’amour à mon corps encore plus fort, jusqu’à ce que son sperme jaillisse. Son souffle me transperce le cou. Nous ne disons rien. Nous haletons. Nous titubons tous les 2 en arrière. Je remonte ma culotte, baisse ma jupe et remets ma chemise. Lorsqu’il retire le préservatif et se rhabille, il sourit faiblement: « Le train est presque là. »
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